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| Nirlaw Jeu 25 Juil 2024 - 14:15 Side Story 2 Classement du Dortoir du Grand Maître Ce n'était qu'après avoir eu un rendez-vous, pour la première fois de sa vie, que Xiao Nai appris qu'avoir une petite-amie signifiait que l'on devait inviter ses colocataires à manger. Bien sûr, il était très heureux de les inviter. De plus, après avoir payé, il avait même eu l'idée d'offrir un repas à ses propres colocataires. Par conséquent, YuGong et les autres avaient eu la chance de manger et de boire gratuitement. L'étudiante Wei Wei rencontra alors pour la première fois le vrai YuGong et les autres…
YuGong et les autres… eh bien, n'étaient certainement pas aussi beaux que les personnages du jeu. Cependant, leurs personnalités étaient assez similaires et Wei Wei s'entendit rapidement bien avec eux.
Il y avait un total de six personnes dans le dortoir de Xiao Nai: le Vieux Frère, Troisième Frère et du quatrième aux septième frères. Comme Second Frère pouvait facilement être confondu avec une certaine partie maléfique du corps (la partie inférieure du corps d'un homme), personne n'avait voulu prendre ce nom. Vieux Frère et Septième Frère ne jouaient pas, donc Wei Wei ne les connaissait pas. Cependant, il était facile de s'entendre avec eux. En parlant de ça, la seule personne avec qui il était difficile de s'entendre dans le dortoir était probablement Xiao Nai.
Grâce à l'amitié qui les liait depuis le jeu, le repas était consommé dans la joie et l'aisance. Mais alors que Wei Wei continuait de manger, une question émergea dans son esprit.
— Pourquoi YuGong et les autres appellent-ils Xiao Nai "Troisième Frère" alors qu'ils ont clairement l'air plus âgés que Xiao Nai.
Bien sûr, la bonne élève Wei Wei ne posera pas de telles questions en leur présence. Ce n'était qu'après le repas, lorsque Xiao Nai la ramena chez elle, que Wei Wei posa la question.
— Ils sont tous plus âgés que moi, répondit Xiao Nai
— Alors pourquoi ? demanda Wei Wei encore plus curieuse.
— Oh, c'était basé sur les compétences, répondit Xiao Nai.
— Hum ? dit Wei Wei perplexe. Quelle compétence ?
— Le démineur. Ils ont perdu, lui répondit-il simplement.
Longtemps après, Wei Wei entendit l'histoire complète du démineur par Yugong. Il avait décrit avec colère la traîtrise du jeune Xiao Nai , comment après avoir découvert qu'il était le plus jeune, il avait silencieusement sorti un cahier et les avait provoqués d'un ton plat.
— Si vous êtes des hommes, vous devriez parler avec votre force.
Jusqu'à ce jour, YuGong était toujours déprimé en parlant de ça.
— Pourquoi ai-je dû rivaliser avec lui !
À l'heure actuelle, Wei Wei ne connaissait toujours pas ces détails. Mais ce simple fait l'avait déjà rendue très amusante. Immédiatement après, elle posa une autre question.
— Eh, alors tu as perdu contre Vieux Frère ?
Après avoir entendu ça, Xiao Nai la regarda avec une expression qui pouvait dire "comment aurais-je pu perdre ?"
— Mais c'était Vieux Frère, dit maladroitement Wei Wei.
— Je l'ai laissé faire, dit Xiao Nai de façon nonchalante.
— Tu es si gentil que ça ? dit Wei Wei très sceptique.
— Vieux Frère était le chef de dortoir par défaut et il devait faire des corvées. | | Messages : 181
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| Nirlaw Jeu 25 Juil 2024 - 14:16 BL Story 1 MoZhaHim (NeLeBattezPas): son vrai nom était Hao Mei. Ce qui ressemble beaucoup à “Vraiment Beau”, ses surnoms étaient Senior Beauty et Beautiful Senior. Il était un des colocataires de Xiao Nai, un membre de l’équipe de basket du département d’informatique, un employé de Zhi Yi Technology et l’un des meilleurs programmateurs.
KO: Son vrai nom était inconnu. C’était un hacker bien connu qui était aujourd’hui employé chez Zhi Yi. Il était aussi l’un des meilleurs programmateurs.
YuGongEscaladeUneMontagne: Son vrai nom était Yu Ben Shan. Il était l’un des colocataires de Xiao Nai, membre de l’équipe de basket du département d’informatique et un employé de Zhi Yi.
Bei Wei Wei: Elle était la femme du Grand Maitre Xiao Nai et la plus belle de l’université A. Son jeu préféré était “Voyage de rêve dans les rivières et les lacs”.
Xiao Nai: Il était le mari de Bei Wei Wei, l’un des plus beaux de l’université A et c'était un génie dans tous les domaines. Durant ses années universitaires, il démarra sa propre entreprise nommée “Zhi Yi Technology” qui collabore avec Feng Teng Corporation qui a créé “Voyage de Rêve dans les Rivières et les Lacs 2”. Son surnom était Troisième Frère.
PARTIE 1 : Vivre ensemble.
YuGong avait vécu dans le même dortoir avec MoZhaHim pendant quatre ans et ce n’était que maintenant qu’il découvrait qu’il était, en fait, riche.
Tout commença quand YuGong se rendit au bureau de MoZhaHim pour chercher quelques snacks.
— Il y a des cookies dans le tiroir, va te servir, lui dit Hao Mei étant au milieu de quelque chose.
Quand YuGong ouvrit le tiroir, il ne trouva pas les cookies mais à la place, il vit un contrat pour l’achat d’une maison posé sur le dessus. Ses yeux s’ouvrirent en grand, il prit les papiers et haleta. Merde ! Il en a deux ! La première était une maison nouvellement construite, un duplex de 180m² dont la date de clôture était l’année d’après. Le deuxième contrat était une revente avec les meubles inclus d’environ 100m², comportant deux chambres, un salon et une salle à manger, bien située et dotée d’une décoration luxueuse.
Ces deux maisons totalisaient près de dix millions de RMB, mais elles étaient payées en totalité. La signature de l’acheteur, tout en bas, n’était autre que celle de Hao Mei.
L’expression de YuGong devaitt être dramatique car elle attira les autres membres du personnel qui passaient par là. L’un d’entre eux vint jeter un coup d'œil. Whoa ! Cette personne était également sous le choc.
Tous les hommes célibataires de l’entreprise étaient stupéfaits, MoZhaHim devint immédiatement la personne la plus détestée de la compagnie. YuGong secoua le corps de Hao Mei plein de chagrin.
— Grand Frère Mei, pourquoi ? Pourquoi ne m’as-tu pas emmené avec toi quand tu as braqué la banque?!
Tous ses autres collègues étaient aussi bouleversés.
— Magnifique Frère Mei, tu as de la monnaie sur tes gains du loto ? Achète-nous aussi un appartement, ok ?
— Magnifique Frère Mei, que fait un homme riche comme toi avec un groupe de fauchés comme nous ?!
— Tu prétendais être pauvre durant toutes ces années d’université. Tu m’as même très souvent demandé cinquante euros ! commença YuGong très en colère.
— Tu penses que je le voulais vraiment? Je suis aussi très pauvre ! dit MoZhaHim étourdi d’être secoué et se débattant pour y échapper. J’ai secrètement postulé pour le département d’informatique de l’université A et pas celui dans le commerce de l’université Z que voulait mon père. Il m’a seulement donné six cents dollars pour couvrir mes dépenses. Merde ! Je l’ai même regretté. Si j’avais su que Beijing avait des tempêtes de poussière et Troisième Frère, je n’aurais pas pris la peine de venir!
Xiao Nai allait éparpiller la foule avant d’entendre la comparaison avec les tempêtes de poussière. Il arrêta ses pas, s’appuya sur le mur, sortit son téléphone et commença à faire une vidéo en live pour Wei Wei.
— Arrêtez de me pousser ! Je vous emmènerai dîner ! Je vous emmènerai dîner ! cria MoZhaHim qui était coincé par une foule de travailleurs.
Après le travail, Grand Frère Mei porta son petit portefeuille plein de ressentiments alors qu’il amenait tout le monde dans un restaurant de fruits de mer. À part Xiao Nai qui n’était pas venu, tout le monde était là, ce qui en fit un très grand groupe.
— Tu sais que ma mère et mon père sont venus la semaine dernière, pas vrai ? Je ne voulais pas retourner chez moi, donc ils m’ont acheté un appartement comme cadeau de mariage avant de partir, expliqua honnêtement MoZhaHim, après avoir commencé à manger.
Il aurait mieux fallu qu’il ne s’explique pas. Maintenant qu’il l’avait fait, la colère qui s’était dispersée après avoir mangé des fruits de mer avait augmenté de nouveau.
— Putain ! Pourquoi en as-tu acheté deux alors ? Planifies-tu de te marier avec deux femmes ?
MoZhaHim -_-
Voyant qu’il était sur le point d’être battu par la foule, Hao Mei élabora rapidement un plan machiavélique pour qu’ils se battent entre eux.
— Oh oui, j’ai failli oublier. J’ai une chambre d’ami dans mon appartement actuel, est-ce que l’un d’entre vous aimerait y vivre ? Je ne ferai pas payer le loyer, dit-il en prétendant se rappeler de quelque chose.
— MOI ! cria immédiatement tout le monde, après le choc passé.
Leurs voix étaient si fortes qu’elles avaient presque fait tomber l’huître des baguettes de MoZhaHim.
— La chambre est un peu petite donc c’est seulement pour l’un d’entre vous. Si vous tous…
Il les regarda d’un regard faussement troublé.
— Frère, nous sommes colocataires depuis quatre ans. Tu ne peux pas me jeter maintenant, dit SingeVin, qui était aussi ici pour manger le repas offert, en attrapant la main de MoZhaHim.
— Casse-toi ! Tu es un étudiant diplômé qui vit dans un dortoir. J’ai déjà pris un bain avec Grand Frère Mei avant, peux-tu comparer ? dit YuGong en bousculant SingeVin.
— YuGong, tu devrais penser prudemment. Lorsque tu auras une petite-amie dans le futur et que tu la ramène à la maison, ne serait-elle pas séduite par l’appartement de Grand Frère Mei ? demanda un membre de l’équipe.
— C’était encore mieux. Ma femme et moi allons nous attacher à Grand Frère Mei pour la vie, répondit YuGong sans honte.
— Tu as un sacré culot ! dit un des équipiers alors que tout le monde était muet.
— Il suffit de regarder cette relation compliquée ! Beau Frère Mei, combien de fois as-tu trompé KO ? demanda quelqu’un du département artistique en se moquant.
En pensant à la relation entre Mei et KO comme à un couple marié, tout le monde se tourna en direction de ce dernier mais seulement pour le voir s'asseoir dans un coin en train de casser tranquillement la carapace de son crabe sans lever les yeux.
— De toute façon, nous sommes tous frères, donc je me sentirai mal peu importe qui je laisserai vivre dans l’appartement. Pourquoi ne pas discuter entre vous et me faire part de votre décision finale? demanda MoZhaHim en s'éclaircissant la gorge pour attirer leur attention.
Tout le monde détourna le regard de KO pour se battre pour l’appartement. Au lieu de s’attaquer à MoZhaHim, ils s’en prirent les uns les autres. Il était ravi et en avait profité pour avaler la nourriture sur la table.
Ils finirent de dîner à la place de toutes ces absurdités. Au moment de payer, la serveuse se tint à côté de MoZhaHim et sourit.
— Merci d’être venu, cela revient à X dollars.
— Si cher ? demanda tout le monde sous le choc.
Les fruits de mer étaient chers sans aucun doute, mais ils ne pensaient pas que cela le serait autant. MoZhaHim était celui qui les avait amené ici, donc ils ne connaissaient pas la fourchette de prix de la nourriture.
Alors que tout le monde exprima ses regrets, MoZhaHim glissa sa carte de crédit, signa la note et soupira.
— J’ai fait profil bas pendant trop longtemps. Le vieil homme a déjà oublié le sentiment de dépenser à profusion.
Ce sentiment de regret disparut immédiatement car tout le monde était frappé de mutisme par sa déclaration. Sauf un bien sûr, qui regarda le beau Frère Mei avec des yeux en cœur.
— Si généreux ! Cette pose de passeur de cartes ! Ce n’était pas Grand Frère Mei, c’était le Prince Mei !
Après leurs repas de fruits de mer, le Prince Mei les amena au Karaoke. Ils s’amusèrent ensemble jusqu’à minuit avant de partir.
Le samedi suivant. MoZhaHim avait initialement prévu de dormir jusqu’à midi, mais qui savait que quelqu’un sonnerait à sa porte à 9 heures ? MoZhaHim grogna et traîna les pieds pour aller ouvrir la porte. Qui cela pourrait-il être ? La sécurité ? Son voisin ? Mais il venait juste d’emménager et personne ne savait qu’il était ici.
Une fois la porte ouverte, la personne qui le regardait n’était autre que…
KO ?
— KO? demanda MoZhaHim surpris. Qu’est ce que tu fais ici?
— Je suis ici pour utiliser la porte de derrière, dit KO en levant son bras droit pour montrer deux sacs remplis.
— Hein ? demanda MoZhaHim en regardant fixement la queue de poisson qui sortait du sac.
KO le dépassa, alla directement dans la cuisine, jeta un coup d'œil autour de lui et ressortit.
— Tu n’as rien dans ta cuisine.
— Grand Frère, je viens d’emménager, il y a quelques jours.
KO marcha vers le salon sans un mot. Il alluma l’ordinateur, ouvrit Word et commença à taper. Après un moment, il imprima une liste de courses.
— Va te changer. Va au supermarché et achète les choses notées sur la liste de course.
MoZhaHim regarda en bas et lit les articles sur le morceau de papier, un wok, une casserole, un cuiseur à riz, une marmite en argile, une spatule, un four, un micro-ondes, une poêle électrique, de la sauce soja, de la poudre de poulet ect…
Hao Mei déglutit, releva la tête et regarda KO comme s’il était un extraterrestre.
— Tu sais cuisiner ?
— Un grand cuisinier, dit KO avec confiance.
Hao Mei était en admiration.
— J’y vais.
KO hoche la tête.
— Et toi ?
— Je vais laver les légumes.
— Oh, ok.
MoZhaHim fixa la liste en silence pendant un moment puis demanda.
— Qu’est-ce qu’un four électrique ? Quelle forme dois-je acheter pour une spatule? Est-ce que j’achète une spatule en bois, en métal ou en acier inoxydable ?
— … , je vais venir avec toi, décida KO.
MoZhaHim prit son portefeuille et se dirigea vers le supermarché avec KO. Acheter des choses était un jeu d’enfant avec lui à ses côtés, alors ils finirentt par demander à être livrés.
Après que tout fut livré.
— Les ustensiles de cuisine et de table doivent être lavés avant d’être utilisés, le dîner prendra donc un peu plus de temps aujourd’hui, lança KO en regardant sa montre-bracelet. Je vais jouer en ligne. Ce sera prêt dans deux heures.
Hao Mei décida plutôt de faire une sieste en regardant le dos de KO disparaître dans la cuisine. Peut-être que KO serait parti quand il se réveillerait à nouveau, ainsi tout cela ne serait qu’un rêve.
Bien qu’il eut l’impression de rêver, lorsque les deux heures se furent écoulées, Hao Mei se présenta à la table à manger et bava sur les plats cuisinés qui semblaient être apparus comme par magie.
Du poisson en sauce piquante, du crabe en crin frit avec des galettes de riz, des ailes de poulet cuites à la vapeur dans une sauce aux jaunes d’œufs salés, des poivrons verts sautés avec des pommes de terre râpées et des poches d’aubergines frites… c'étaient tous ses plats préférés ! Hao Mei était sur le point de jeter sur la nourriture sans aucune dignité quand KO sortit de la cuisine en tablier avec deux bols de riz.
— Lave-toi les mains, dit-il.
Le jeune homme se leva à contre-cœur pour se laver les mains. Il les rinça rapidement et revint à table. Il prit place et engloutit déjà deux ailes de poulet en un clin d'œil.
— C’est bon? demanda KO.
— Troob Bouin ! Ilss soount troob bouin ! marmonna Hao Mei la bouche pleine. Il attrapa un demi-crabe crin de cheval et continua. KO, tu es trop vertueux. Je ne peux pas croire que tu saches cuisiner.
— Avant de travailler dans l’entreprise, je travaillais comme cuisinier.
Hao Mei se figea au milieu d’un morceau de patte de crabe et le regarda avec perplexité.
Un cuisinier ? Il se rappela soudainement que la personne devant lui était aussi le meilleur des hackers. Cela voulait-il dire qu’il était cuisinier le jour et hackeur la nuit?
Faut-il qu’il soit si légendaire ?!
Depuis sa rencontre avec Xiao Nai, Hao Mei avait de nouveau été blessé dans son amour-propre.
— Qu..De quelle université es-tu diplômé ?
Bon sang ! Il n’avait pas le choix que de retrouver son amour propre dans son éducation. Il ne pouvait y avoir une autre université aussi cotée que l’Université A.
— Neuf ans d’enseignement obligatoire.
— Hein?
— Quand j’avais 14 ans, il n’y avait plus personne dans la famille. Je n’avais pas d’argent, donc je ne pouvais pas continuer l’école, dit KO calmement en jetant un regard sur l’expression confuse de Hao Mei.
Hao Mei se sentit mal d’avoir demandé quelque chose qu’il n’aurait pas dû. Il voulait le consoler, mais il n’était vraiment pas bon à ça, donc il dit sincèrement.
— Tu es vraiment bon maintenant. Tu es meilleur que le reste d’entre nous qui sommes diplômés de grandes universités. Bien que tu aies perdu contre Troisième Frère, ce n’était définitivement pas parce que tu n’en as pas les compétences pour le battre, mais parce que tu as un meilleur caractère.
KO le regarda en silence pendant un moment avant de répondre.
— Je sais.
Hao Mei était stupéfait.
— Sérieusement, je suis juste gentil, il n’y a pas besoin d’être aussi sérieux !
Une demi-heure plus tard, tous les plats étaient vides. MoZhaHim caressa son gros ventre plein en s'appuyant sur le dos de la chaise. Il rota de satisfaction.
— J’ai décidé de vivre ici, dit KO qui était assis sur un coin de la table.
— Hein? Roaaaaaah, rota Hao Mei.
Il était concentré sur son estomac, son cerveau ne savait clairement pas comment réagir.
— Je cuisinerais.
— …
— Je ferais la vaisselle.
— …
— Je laverais le sol.
— …
— Je ferais tout.
KO regarda une certaine personne confuse et demanda proprement.
— Veux-tu que je vive ici ?
— Oui, pleura Mei.
Le premier tour des négociations était terminé ! KO hocha la tête et entra dans la cuisine pour laver la vaisselle.
Peu de temps après, une nuit, MoZhaHim était pressé sur son lit, déshabillé et dévoré par quelqu’un. Quand il le ridiculisa en se frottant les fesses après.
— Je te l’ai dit le premier jour où je suis venu et tu ne t’y es pas opposé, dit KO en inhalant calmement sa cigarette.
— Quand as-tu dit ça ? demanda rageusement Hao Mei.
— Tu te rappelles la première chose que j’ai dite ce jour-là? demanda KO.
— Qui diable s’en souviendrait…
Bien qu’il le niait, en tant que meilleur étudiant de l’Université A, son cerveau n’était pas là, seulement pour le spectacle. Quand Hao Mei voulait se souvenir de quelque chose, il s’en rappelait.
— Que fais-tu ici ? se souvient-il d'avoir demandé lorsqu'il avait ouvert la porte.
KO…
Semble avoir répondu…
— Je suis ici pour utiliser la porte de derrière.
Merde !!!!
— Tu te souviens maintenant? demanda KO en écrasant sa cigarette dans le cendrier près de sa table de nuit. Je l’ai redis après.
— Quand l’as-tu redit? demanda Hao Mei qui ne se souvenait pas de l’autre fois.
— J’ai dit - cuisiner, laver, lessiver… Je ferais tout, dit lentement KO en le regardant avec ses yeux qui semblaient brûler de flammes noires.
Le corps de MoZhaHim se raidit face à son regard.
— Qu’était ce qui ne va pas avec cette phrase ?! s'indigna-t-il.
— Je ferais n'importe quoi, y compris toi, expliqua KO, dont l’expression était complètement à l’opposé de celle du jeune homme.
— …
Hao Mei resserra ses fesses et son visage était plein de larmes. | | Messages : 181
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| Nirlaw Jeu 25 Juil 2024 - 14:16 BL Story 2 Une chose ou deux qui se sont passées avec le grand maître et Wei Wei. Hao et KO venaient de commencer à vivre ensemble et n'avaient pas fait un pas de plus..
— Junior, j'ai enfin découvert le montant du salaire de KO, dit secrètement Hao Mei à Wei Wei, un jour.
— Combien ? demanda-t-elle pleine de curiosité.
— Merde ! C'est plus que moi, répondit Hao Mei avec colère.
— N'est-ce pas normal ? pensa Wei Wei en le regardant en silence.
— Pourquoi tu me regardes comme ça ?! demanda Hao Mei qui se sentit insulté.
— Haha, non, rien. Oh si, Sénior, comment as-tu trouvé son salaire ? dit Wei Wei en s'éclaircissant la gorge.
— Il voulait me payer un loyer, je lui ai déjà dit qu'il n'avait pas à le faire. Suis-je le Grand Frère Mei, quelqu'un qui s'occupe de si petites choses ? Mais il a insisté pour payer le loyer ainsi que les frais de nourriture et d'autres choses, alors il m'a laissé sa carte bancaire, hahaha, expliqua fièrement MoZhaHim. Junior, tout le paiement de ton stage se fait chez Troisième Frère, n'est-ce pas ? se moque-t-il.
Wei Wei tourna la tête vers lui
— Oh Aîné…Est-ce vraiment quelque chose dont on peut être fier, qu'un homme garde la carte bancaire d'un autre homme en sécurité ?
Hao Mei se figea sur place.
Wei Wei, quant à elle, s'éloigna.
Peu de temps après avoir emménager ensemble..
Ce qui était étrange dans les bureaux de Zhi Yi, c'était qu'il n'y avait pas de comptoir d'accueil. Il y en avait avant mais comme la place du pauvre réceptionniste était toujours occupée par d'autres, il était progressivement devenu un comptoir administratif et de réception.
Qui a pris la relève ? Les programmateurs de Zhi Yi. Cette mauvaise habitude avait été prise par MoZhaHim et les autres. Chaque fois qu'il avait du mal à écrire un programme et qu'il était coincé, il aimait aller au comptoir et prendre différentes poses. Cela finit par se propager aux autres, si bien que dès que les membres de l'équipe étaient au bord du rouleau, le comptoir de devant était entouré d'un certain nombre de beaux hommes..
Wei Wei était venue voir Xiao Nai et aperçut de nouveau Hao Mei au comptoir.
— Aîné, tu as pris du poids ! dit-elle avec surprise.
Hao Mei secoue la tête. et continue "
— C'est ce qui arrive quand on vit aux crochets de quelqu'un, dit-il.
— Aîné, tu ne viens pas d'emménager dans un nouvel appartement ? Tu vis aux crochets de qui ? demanda Wei Wei en sueur.
— Je vis avec quelqu'un dans mon propre appartement, expliqua Hao Mei avec découragement.
— Tu es capable de réaliser quelque chose de si difficile ? Tu es incroyable ! le complimenta-t-elle.
— On dirait vraiment que c'est le cas. Il me procure de la nourriture, des boissons et même sa carte bancaire, réfléchit profondément le jeune homme.
Wei Wei était aussi prise dans ses propres pensées.
— Aîné, j'ai aussi donné ma carte bancaire au Grand Maître, alors est-ce que cela compte comme s'il vivait avec moi ? dit-elle après un long moment.
Après que Hao Mei et KO aient couché plusieurs fois ensemble.
— Troisième Frère va trop loin. Dépêche-toi et va lui dire d'arrêter de donner tant de choses à KO. Mon Dieu, il n'a presque pas le temps de me préparer à dîner, se plaignit Hao Mei à Wei Wei, un jour.
— Hein? Oh, d'accord, répondit la jeune femme.
Quand Wei Wei vit Xai Nai pour un rendez-vous, elle lui raconta ce que Hao Mei lui avait dit. Mais la jeunne femme se sentait bizarre après
— C'était tellement bizarre… Pourquoi ce n'était pas KO qui me l'a dit mais l'Aîné Magnifique ?
— C'est tout à fait normal. C'est ce qu'on appelle la socialisation entre épouses, répondit Xiao Nai.
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| Nirlaw Jeu 25 Juil 2024 - 14:17 BL Story 3 Un jour au supermarché Aujourd'hui, Hao Mei et KO étaient au supermarché quand une femme voleptueuse passsa près d'eux avec une brise de parfum. Le regard de Hao Mei la suivit et la magnifique femme lui sourit en retour.
Le jeune homme avait vraiment apprécié ce moment, il ne pouvait pas s'empêcher de tourner la tête pour jeter quelques coups d'œil supplémentaires.
— Arrête de regarder. Je suis meilleur qu'elle, dit KO impassible.
— Quelle part de toi était meilleure qu'elle ? Il suffit juste de regarder la forme de son corps !
— Je suis meilleur.
— Bon Dieu, de quelle manière ?
— Hier soir, tu as dit que c'était trop gros, répondit KO avec désinvolture.
Hao Mei pensa qu'il avait mal entendu. Quand il enregistra finalement ce qu'avait dit KO, il cria.
— Dégage ! Quand est-ce que j'ai déjà dit ça ?
KO le regarda...
Ok… En effet, il l'avait déjà dit, mais…
— C'était un compliment sur ta silhouette ? se moque Hao Mei.
— C'était la partie la plus importante.
MoZhaHim était sans voix, il ne pouvait que se battre pour le nier.
— Je n'ai jamais rien dit.
— Tu n'as rien dit, tu as crié.
— … , Tu, tu, tu ! Si je dis que je ne l'ai pas fait, je ne l'ai pas fait !
— Ok, recommençons ce soir.
Les oreilles de Hao Mei étaient complètement rouges, mais il faisait comme si de rien n'était en regardant de gauche à droite. Il vit passer une autre jolie femme. Juste pour rendre une certaine personne en colère, il jeta délibérément quelques regards à la jeune femme et lui murmura quelques compliments.
— Pas mal, pas mal. On peut dire qu'elle était du genre intelligente. Se concentrer seulement sur le corps de quelqu'un est superficiel. Les qualités intérieures sont importantes.
— Les légumes qu'elle achète sont trop mûrs. Elle ne sait pas cuisiner, commenta KO après avoir jeté un coup d'œil. Ses ongles sont trop longs. Elle n'utilise pas beaucoup l'ordinateur, donc elle ne peut pas jouer en ligne avec toi ou t'aider a hacker l'ordinateur de ta célébrité favorite pour télécharger ses photos personnelles.
Lui ai-je demandé de hacker leurs ordinateurs ? Je l'ai fait ? J'ai seulement dit qu'elle était jolie et tu es allé le faire toi-même. De plus, c'était toutes des photos démaquillées ou sans photoshop, ce qui a brisé l'image que j'avais d'elle.
— Son tour de taille est trop petit et elle est trop fine. Elle n'a pas la force de t'aider à te frotter le dos ou à porter un sac de riz.
Son tour de taille ?
— Où regarde tes yeux ? Qui t'a permis de regarder en détail ? Ramène tes yeux ici tout de suite ! s'exclame Hao Mei.
— … | | Messages : 181
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| Nirlaw Jeu 25 Juil 2024 - 14:17 BL Story 4 Manger une tourte à la viande Les deux hommes avaient dû faire des heures supplémentaires ce soir, il était déjà plus de 20 heures quand ils étaient rentrés chez eux. Ils passèrent devant un stand de tourte à la viande farcie sur leur chemin et les yeux de Hao Mei scintillèrent.
— KO, achetons deux tourtes pour un goûter de fin de soirée. Les tourtes à la viande d'ici sont délicieuses. D'habitude, il y a plus de 20 personnes qui font la queue mais il n'y en a pas autant aujourd'hui.
KO n'avait pas d'opinion.
Bien qu'il n'y ait pas beaucoup de monde, ils étaient encore plus de 10 à faire la queue. C'était finalement leur tour après 10 minutes d'attente, mais il ne restait qu'une seule tourte.
— Désolé, monsieur, il n'en reste qu'une seule et je n'ai plus d'ingrédients pour en faire une autre, expliqua la propriétaire du stand, désolée.
— C'est bon, c'est bon.
Bien qu'il se sentait un peu contrarié, ils ne pouvaient rien y faire. MoZhaHim sortit son portefeuille et paya puis prit le sac. Alors qu'il s'apprêtait à dire à KO de la manger, celui-ci lui avait déjà pris le sac des mains. Il tenait la tarte, mangea une bouchée, la mâcha soigneusement puis en prit une autre et encore une autre jusqu'à finir toute la tourte. Il n'en garda pas un seul bout pour Hao Mei.
Hao Mei était stupéfait. Il avait déjà décidé de lui donner, puisqu'il l'avait déjà goûté auparavant mais entre la donner à KO et que KO le prenne directement, il y avait une grande différence.
Comme MoZhaHim ne pouvait pas montrer sa gentillesse en tant que gentleman, il ne put montrer sa fureur qu'en tant qu'homme. Quand KO vint à lui pour son désir romantique, MoZhaHim le mit dehors.
— Va dormir dans ton propre lit.
KO le regarda en silence pendant un moment et retourna dans sa chambre. Mais il semblait être allé à la cuisine quand Hao Mei entendit un tas de tintement et de cliquetis, sans savoir ce qu'il faisait. Néanmoins, Hao Mei s'endormit au rythme du bruit.
Il se réveilla avec la sensation d'être pressé. Toujours dans le brouillard, il sentit quelque chose de dur contre sa cuisse pendant que quelqu'un lui embrassait le cou. MoZhaHim ne put s'empêcher d'être excité par cette sensation d'humidité. Juste au moment où il s'énervait et voulait céder, son estomac gargouilla soudainement.
Les sentiments du jeune homme cessèrent d'être effrayés. Il se souvenait de ce qu’il s'était passé hier et était plein de colère. Fils de flingue, s'il n'était pas en colère parce qu'il n'avait pas mangé hier soir, il ne serait pas à court d'énergie maintenant !
C'était pourquoi, il donna un énorme coup de pied à KO.
— Dégage. Je suis affamé. Va me faire le petit déjeuner.
Ko ne bougea pas. Il respira alors qu'il était encore au-dessus de lui. Après un moment, MoZhaHim put sentir qu'une certaine chose sur sa cuisse s'était calmée. KO se retourna alors pour sortir du lit. Il mit un jean pour couvrir son corps nu et se rendit à la cuisine sans un mot.
Hao Mei regarda son dos nu, ses fesses bien enveloppées par le jean et déglutit en éprouvant un peu de regret. Sérieusement, il n'avait vraiment aucune persévérance, s'il était resté un peu plus longtemps sur moi, j'aurais cédé.
Pff ! Il se tourna sur le côté pour rattraper son sommeil. Mais il ne sembla pas pouvoir dormir. Il put encore sentir la sensation de brûlure contre sa cuisse, son esprit était rempli d'image du dos bien construit de KO. Il se tourna et se retourna pendant une demi-heure mais cela ne fit que le rendre encore plus agité. Il s'assit en se sentant agacé. Il s'habilla et quitta la pièce.
La cuisine était une cuisine ouverte donc dès qu'il sortit de la chambre, tout ce qu’il s’y passait était à la vue de tous.
Dans la cuisine légèrement embuée, KO était encore torse-nu. Ses muscles compacts semblaient pleins de force, la cuisine devait être une autre façon de s'entraîner. Le corps de KO était en bien meilleure forme que celui d'un informaticien comme lui.
Bon sang ! Le jeune homme se maudit lui-même.
Il était encore plus sexy en tenant une spatule qu'en étant au lit. Il portait même une paire de jean taille-basse. C'était trop coquin !
Attendez, son jean me semble familier. MoZhaHim regarda plus près et se rendit compte qu'il s'agissait en fait de sa propre paire de trésors. Quelques fois dans le passé, il voulait être à la mode et avait acheté ce jean décontracté à taille-basse. Mais YuGong et les autres s'étaient moqués de lui et il ne l'avait plus jamais porté. KO avait récemment pris ses vêtements saisonniers pour les laver et les faire sécher et il avait pris ce jean sans le lui dire.
Mince ! Il le porte sans sous-vêtement !
Comme si ses sens étaient enflammés, Hao Mei sentit de la chaleur dans tout son corps, ses désirs sexuels remplissaient rapidement son esprit, chassant son rationalisme. Il ne put s'empêcher de marcher jusqu'à la cuisine avant de tendre le bras et de toucher l'arrière de la taille de KO.
Le hackeur se raidit au toucher, mais se détendit immédiatement. Il continua à garder la tête baissée et se concentra sur la cuisson des aliments dans la casserole, laissant Hao Mei le toucher autant qu'il le souhaitait. Le jeune homme ne put résister et s'accrocha à lui. Il mordit son épaule, ses mains se dirigèrent lentement vers l'avant, elles s'arrêtèrent un moment sur sa poitrine, puis elles commencèrent à descendre avec tentation.
Il ne savait pas ce que KO cuisinait, on avait plutôt l'impression que c'était lui qui était cuit sur le feu. Sans savoir pourquoi, la chaleur brûla tout son corps.
— Tu ne l'as pas boutonné, dit Hao Mei en mettant sa main sur la taille du jean.
— Aide-moi à le boutonner, répondit KO d'une voix basse.
Pff !
Hao Mei fit le contraire. Il le dézippa à la place, l'attrapa et commença à le tripoter…
KO se tendit, releva la tête et commença à respirer de plus en plus fort…
— C'est fait ! dit rapidement KO avant de se retourner.
On dirait qu'il n'avait pas assez de self-contrôle, MoZhaHim le taquina secrètement en récupérant sa main. Il fit un pas en arrière, attendant que KO bondisse de rage, mais qui aurait cru…
…
Une tourte chaude et farcie fut mise dans sa bouche.
— La tourte est prête. Quel goût a-t-elle ? dit KO d'une voix rapeuse et profonde.
— …
— Est-ce que le goût est assez proche de celui du stand d'hier ? demanda KO.
— C'est 100 fois mieux que celles d'hier, mais tu peux oublier de dormir dans mon lit pour le reste de ta vie ! dit Hao Mei en finissant la tourte furieusement en quelques bouchées.
La fin de cet incident:
KO mit la table avec pleins de plats pour le dîner et réussit à convaincre le prince Mei de changer ses paroles pour ne pas le laisser dormir jusqu’à la fin du mois.
— Je crois que c'est le 31 aujourd'hui, fit-il remarquer après un moment de silence.
— Vraiment ? D'accord, puisque je l'ai dit, je ne reviendrais pas sur mes paroles. Tu as de la chance, répondit Hao Mei qui joua la surprise.
— Pff ! Tu crois vraiment que je ne le sais pas ? Tu peux oublier de prendre du temps libre ! Je peux tout laisser souffrir sauf moi ! pensa-t-il.
— En fait, essayer le canapé, la salle de bain, la salle d'étude, le réfrigérateur ou le plancher en bois dur pendant un mois n'était pas une mauvaise idée, pensa KO à son tour.
Par conséquent, l'incident de la tourte à la viande se termina exactement à minuit, accompagné d'un exercice romantique.
Bonus de l'auteur:
— Oh eh, KO. Quel est ton vrai prénom ? demanda Hao Mei un certain temps après avoir fini leur affaire.
— Je te le dirais après qu'on l'ai fait XXXX fois, répondit KO.
— Ne serais-tu pas mort et à court de jus d'ici là ? Tu veux que j'aille voir ta pierre tombale ?
— Basé sur la fréquence, tu devrais être à court de jus avant moi, dit KO.
— Connard ! lança MoZhaHim avec une expression désagréable sur le visage car cela touchait à la dignité de l'homme.
— J'ai compté, dit KO.
— …
— Je viens habituellement une fois, tandis que tu…
— Mince ! Mon endurance est celle d'un homme normal, dit Hao Mei. De plus, je te presserai jusqu'au bout avant de mourir. | | Messages : 181
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| Nirlaw Jeu 25 Juil 2024 - 14:17 BL Story 5 Tactique de M. Homme au Foyer Depuis que KO s'était installé chez Hao Mei, il étudiait la météo tous les jours. Après N jours, il avait finalement décidé que c'était aujourd'hui LE jour.
La météo du jour: soleil le matin, pluie et orage l'après-midi.
Le temps de demain: nuageux puis averses éparses.
Après-demain: nuageux et averses éparses.
Il était déconseillé d'entendre le linge pour le faire sécher.
KO dessina un cercle sur le calendrier. Au petit matin, il sortit sa housse de couette, ses draps et son oreiller pour aller sur le balcon. Lorsque MoZhaHim se dirigea vers le balcon en slip pour aller chercher sa chemise (comme il voulait de la bonne nourriture, il donna la chambre avec balcon à KO). Il était surpris par toutes les choses qui étaient étalées sur le balcon.
— Tu sors tes draps au soleil ?
— Il fait beau aujourd'hui, commenta KO en passant devant lui en regardant droit devant.
Ils se rendirent au travail après le petit-déjeuner. Dans l'après-midi, le ciel s'assombrit, suivi d'une période de fortes pluies qui dura une demi-heure.
MoZhaHim taquina KO sur le chat.
— Tes draps sont finis hahahaha.
— Je dormirais avec toi ce soir, répondit KO.
— Pour quoi faire ?
KO ne dit rien. Il envoya une pièce jointe. À la minute où Hao Mei l'ouvrit, merde ! C'étaient toutes des photos de nourriture délicieuse !
— Je te laisserai dormir ! répondit MoZhaHim à KO en bavant sans hésitation.
En fait, s'il avait pris un peu de temps pour rechercher les plats sur les photos, il aurait découvert qu'ils avaient tous une chose en commun. C'étaient tous des aliments aphrodisiaques.
Dans la soirée, KO cuisina de nombreux plats comme ceux des photos. Hao Mei les mangea tous avec satisfaction. Quand il était temps de se coucher, KO grimpa dans son lit et partagea la moitié de l'oreiller avec lui.
MoZhaHim n'arrivait pas à s'habituer à ce que quelqu'un d'autre dorme sur le même oreiller que lui, alors il le reprit en lui disant.
— Arrête de dormir si près, espèce de fou ! Pourquoi as-tu laissé ton oreiller dehors ? Maintenant que tu n'en as plus pour dormir, va chercher quelques vêtements qui te serviront d'oreiller.
— Mangeons des nouilles à l'anguille demain, dit KO après une pause.
Hao Mei remit tranquillement l'oreiller en place pour le partager.
Peut-être parce que KO était dans le même lit mais Hao Mei ne parvenait pas à s'endormir. Au bout d'un moment, il commença à avoir chaud à l'intérieur et une certaine partie de son corps commença à être excitée.
Bon sang ! Pourquoi faut-il que ce soit aujourd'hui ? Depuis que KO était juste à côté de lui, il n'y avait aucun moyen de s'en occuper.
Hao Mei se retourna dans son lit, mais il ne put toujours pas dormir. Une certaine partie de son corps se tenait déjà fièrement debout à ce stade. MoZhaHim applaudit son corps qui fonctionnait parfaitement bien tout en étant déprimé d'avoir une vie imparfaite.
Il appella KO deux fois silencieusement, mais le hackeur ne répondit pas. MoZhaHim déplaça lentement sa main vers le bas mais s'arrêta en hésitant. Peut-être devrait-il le faire dans la salle de bain ?
Juste au moment où il ne put décider quoi faire, une main chaude l'avait déjà atteint, le manipulant, accompagné par le son de la respiration à proximité.
— Laisse-moi t'aider, dit KO.
Le lendemain, le ciel était nuageux avec des averses, le troisième jour, des averses plus dispersées. En conséquence, la housse de couette et les couvre-lits n'étaient toujours pas secs, mais KO et Hao Mei n'avaient jamais pensé à acheter un nouvel ensemble au supermarché. Quoi qu'il en soit, durant ces 3 jours, ils s'étaient déjà entraidés de nombreuses fois dans l'obscurité de la nuit.
MoZhaHim ne comprenait pourquoi il était si énervé ces jours-ci. Son excitation avait été telle qu'elle dépassait l'être humain !
La housse de couette et les couvre-lits étaient finalement secs, KO retourna dans sa chambre. Mais des choses bizarres commençèrent à se produire. Par exemple, KO découvrit des insectes dans sa chambre, alors il utilisa des sprays anti-moustiques, ce qui signifiait qu'il devait fermer sa chambre ou que sa couverture tombait accidentellement du bâtiment lorsqu'il la sortait pour les étendre au soleil, ou pour d'autres raisons du même ordre… Ils continuèrent à dormir dans le même lit plusieurs fois.
Juste au moment où Hao Mei s'était habitué à dormir dans le même lit, tout d'un coup, il n'y avait plus eu de situation bizarre. Depuis un mois, KO dormait en toute sécurité dans sa propre chambre.
Les premiers jours, Hao Mei ne ressentait rien. Mais une semaine plus tard, KO prépara un plat d'huîtres pour le dîner et le jeune homme commença à se sentir agité la nuit.
C'était trop pervers pour qu'il puisse s'en empêcher. Un jeune garçon ambitieux ne ferait jamais ça. Mais comment pourrait-il aller demander à KO de revenir dormir avec lui ?
Hao Mei se tourna, se retourna plusieurs fois et finalement, en tant que champion provincial des universitaires de la province Z et meilleur étudiant de l'université A, son cerveau se mit au travail !
Il commença à étudier les bulletins météo. Quelques jours plus tard, ses yeux étincelèrent
Météo du jour: Soleil le matin, pluie et orage l'après-midi.
MoZhaHim décida de sortir sa couette pour l'étendre au soleil !
Suite:
Lorsque le "donneur" ne faisait rien de bon, le Paradis lui venait toujours en aide. Mais lorsque le "receveur" voulait faire quelque chose de mal, le bulletin météo n'était jamais précis. En fait, il ne plut pas aujourd'hui.
Hao Mei fixa le soleil à l'extérieur de la fenêtre du bureau, se sentant désespérément anxieux. Voyant qu'il était presque l'heure de quitter le travail, il ne pouvait plus rester assis. Il se précipita chez lui, remplit un seau d'eau et le versa sur sa couverture qui était suspendue au balcon.
Quand KO arriva à la maison, Hao Mei s'approcha rapidement de lui et se plaint avec colère.
— Bon sang ! Il a plu aujourd'hui. Ma couette est toute mouillée.
— On dirait qu'il n'a pas plu, dit KO en regardant l'innocent soleil qui brillait dehors.
— Le bulletin météo disait qu'il y aurait de la pluie dans certaines zones, dit MoZhaHim sans rougir ni que son cœur saute un battement.
Les "certaines zones'' où il plut étaient limitées au balcon. Il va sans dire que mère nature était vraiment puissante… | | Messages : 181
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| Nirlaw Jeu 25 Juil 2024 - 14:18 BL Story 6 Certificat Ils étaient ensemble depuis longtemps maintenant mais aujourd'hui, Hao Mei se souvint soudain d'un point suspect.
— KO, comment as- tu découvert ma nouvelle adresse au début ?
Il avait même acheté des légumes et d'autres ingrédients à sa porte tôt le matin.
— J'ai regardé dans la base de données d'enregistrement des logements, répondit KO calmement.
— Peux-tu ne pas le dire comme si tu étais juste allé sur Baidu, ce genre de ton ?
Au milieu de la nuit, Hao Mei se réveilla soudainement de son sommeil et s'assit dans son lit. Il portait un pantalon épais et KO était également réveillé par la perturbation. Il s'assit également et embrassa MoZhaHim tout en lui tapotant doucement le dos.
— Qu'est ce qui ne va pas ?
— J'ai fait un cauchemar, dit MoZhaHim en essuyant sa sueur. J'ai rêvé que tu piratais le bureau de gestion des logements et que tu changeais le nom d'enregistrement pour le tien. C'est trop effrayant.
C'était vraiment un cauchemar ! Si KO était le propriétaire de l'appartement, cela ne voudrait-il pas dire qu'il vivait à ses crochets ? En tant que vrai homme, aurait-il encore de la dignité ?
— Heureusement que ce n'était qu'un rêve.
Hao Mei laissa échapper un souffle de soulagement. Il retomba sur le lit d'un coup et se rendormit. Il ne remarqua pas que KO resta assi sur le lit, dans le noir, un long moment après.
Depuis ce jour, quelque chose sembla se passer avec KO. Quand il était normal, il n'avait pas d'expression et quand il n'était pas dans son état normal, il n'avait toujours pas d'expression. Pour quelqu'un qui était négligent comme Hao Mei, il était tout simplement impossible de remarquer une quelconque différence entre les deux.
La première chose que MoZhaHim remarqua fut…
Que les œufs de KO étaient plus gros que les siens.
Ses repas étaient très sains depuis que KO avait emménagé. Le petit déjeuner était très nourrissant, un œuf était indispensable. Oeufs bouillis, œufs frits, œufs au sirop, oignons frits en dés avec des œufs et bien d'autres sortes d'œufs…
Hao Mei n'a jamais été très porté sur la consommation d'œufs, mais KO affirmait que les œufs étaient une forme de nourriture pour ses propres "œufs". MoZhaHim pensait que c'était tout à fait logique et les mangea avec plaisir tous les jours.
Cependant, Hao Mei avait remarqué que récemment, ses œufs du petit déjeuner étaient clairement plus petits que ceux de KO. Ce n'était pas grave si ce n'était qu'un jour ou deux, cela pourrait n'être qu'une coïncidence, mais après quelques jours, ses œufs étaient toujours plus petits !
Hao Mei était furieux !
Peu importe que les œufs soient petits ou gros, mais le message indique clairement que c'était de la discrimination. MoZhaHim n'en pouvait plus ! Bon sang ! Il ne laissait pas entendre que son…… était plus petit ????!!!! Par conséquent, KO n'avait pas besoin d'autant de nourriture ?!!
Mais Hao Mei finit par se calmer et garda sa fureur à l'intérieur de lui. Après tout, c'était impoli de se battre pour la taille de leurs œufs, ça ne fera pas de mal de laisser KO prendre les plus gros. Plus tard, lorsqu'il alla travailler, Yugong lui demanda secrètement dans les toilettes.
— Prince Mei, Prince Mei, se pourrait-il que tu aies l'intention d'acheter une autre maison ?
— Quelle maison ? demanda Hao Mei déconcerté.
Yugong méprisait ceux qui tentaient de cacher leur richesse.
— Si nous sommes amis, arrête de faire semblant. J'ai vu KO chercher des maisons de revente sur internet hier. De plus, lorsque nous parlions des prix actuels du marché, KO écoutait à côté. Est-ce normal ? Alors arrête de faire semblant, d'accord ? Ce n'était pas comme si je te demandais de m'offrir un repas.
Hao Mei ne put s'empêcher de ressentir de la suspicion. Il choisit un moment où KO n'était pas présent et pirata son ordinateur pour voir son historique de navigation. Il y avait bien des sites d'hébergement et il y travaillait depuis longtemps.
Qu'est-ce que ça signifiait ? Il avait l'intention de déménager?
Hao Mei perdit sa concentration sur le travail le reste de la journée à cause de ces questions sans réponses dans son cœur. Xiao Nai demanda à le voir après le travail.
— KO veut signer un contrat de 5 ans avec moi, tu le savais ?
Le jeune homme était stupéfait.
— Tu es à court d'argent ces temps-ci ? Sa condition pour signer le contrat est d'être payé trois ans de salaire à l'avance.
En voyant comment Hao Mei était frappé de mutisme, même si Xiao Nai était une personne intrigante, il ne put s'empêcher de pousser un soupir pour son frère qui allait se marier. Xiao Nai voulait vraiment signer ce contrat avec KO mais par rapport à son rôle dans l'entreprise, il avait toujours été quelqu'un qui mélangeait le travail et les affaires personnelles, il pensait que son rôle de troisième frère était plus important.
En tant que frère, il devait laisser ses frères se sentir en sécurité en travaillant dans l'entreprise !
Hao Mei quitta le bureau de Xiao Nai dans un état de confusion mais en marchant, une rage l'envahit.
Bon sang !
Tout devient clair.
Le torturer (comme lui donner des œufs plus petit…)
Étudier secrètement le prix des logements…
Signer secrètement un gros contrat de salaire…
Toutes ces preuves montrent que KO le trompe, il prépare le dîner pour quelqu'un d'autre !
Hao Mei eut soudain envie de couper le "petit frère" de quelqu'un en ce moment.
Il n'était pas quelqu'un qui pouvait garder les choses pour lui, alors il décida d'affronter KO tout de suite. Le hacker cuisinait de nombreux plats pour le dîner comme à son habitude. Hao Mei le prit comme "son dernier repas" et mangea tout en se sentant déprimé. Il s'essuya la bouche après avoir fini de manger. Lorsqu'il vit KO sortir de son siège pour aller faire la vaisselle, il l'arrêta immédiatement.
— Assis toi.
KO fait une pause, le regarda puis mit les assiettes en place et s'assit.
— Tu as l'intention d'acheter un nouvel appartement ? demanda Hao Mei sans détour.
KO ne sembla pas surpris qu'il le sache, alors il hocha la tête.
— Pourquoi ? dit Hao Mei qui sentit sa tension artérielle augmenter.
— Je veux avoir une propriété commune, expliqua KO après un moment de silence.
— Quelle propriété as-tu dit ? demanda le jeune homme avec doute.
— Une propriété commune, répéta KO.
Hao Mei le fixa, cligna des yeux et réalisa rapidement ce qu'il disait.
— Tu… tu veux acheter ma maison ?
— La moitié. Mais je ne peux toujours pas me le permettre, dit KO en regardant vers le bas.
Hao Mei ne trouva pas de mots pour décrire ses sentiments. Il était un peu confus, un peu ravi, un peu ébahi et un peu touché ? Ils étaient tous les deux assis l'un en face de l'autre comme deux idiots.
— Tu voulais signer un contrat avec Troisième frère à cause de ça ? demanda MoZhaHim après un long moment de silence.
KO hocha la tête.
— Oh. Combien vaut cette propriété maintenant ? L'as-tu découvert en regardant les prix du marché en ligne ?
— C'est environ 400 000, dit KO.
— La valeur de la propriété a encore augmenté ? Bon sang ! Les affaires immobilières sont vraiment sombre, dit MoZhaHim choqué.
— Elle a augmenté de 97%, dit Ko.
— C'est fou ! Heureusement qu'il l'avait acheté avant, pensa-t-il. As-tu pensé à ce que tu feras si je refuse de te la vendre ? Puisque les prix ont tellement augmenté, je ne vais pas perdre de l'argent en te la vendant ? demanda-t-il en regardant KO.
— Tu me la vendra.
Hao Mei était en colère parce que ses pensées étaient exposées.
— Pff ! Comme tu le vends, toute ta famille… hum, dit Hao Mei en tournant la tête sur le côté avant de fermer la bouche et de continuer plus loin et d'ordonner. Va faire la vaisselle !
KO s'empressa de faire la vaisselle.
Hao Mei se sentit à nouveau heureux et satisfait de sa vie. Il était même prêt à accepter le fait que ses œufs étaient plus petits que ceux de KO. Il croyait généreusement: laissez KO les avoir. C'était un homme après tout, il ne devait pas être aussi avare. De plus, KO travaillait plus dur que lui, qu'il fasse jour ou nuit, donc il avait effectivement besoin de plus de nourriture.
Ils avaient fini tous leurs œufs aujourd'hui, alors ils allèrent au supermarché. Lorsqu'ils arrivèrent à l'entrée, MoZhaHim reçut un appel téléphonique du bureau concernant un problème lié au travail. Comme il y avait beaucoup de bruit à l'intérieur, Hao Mei dit à KO de passer devant pendant qu'il terminait l'appel. C'était presque une demi-heure plus tard que l'appel prit fin.
Hao Mei alla chercher KO à l'intérieur. Il regarda à gauche et à droite, mais ne sembla pas pouvoir le trouver. Juste au moment où il s'apprêta à appeler KO sur son portable, il tourna la tête et vit KO parmi une foule de vieilles femmes, il faisait la queue pour acheter des œufs à prix réduit…
Le jeune homme hésita un peu, mais il s'approcha et tira KO par les manches.
— Hé, qu'est-ce que tu fais ?
— Les œufs.
— Je sais que tu achètes des œufs, mais tu n'en as pas déjà pris ? demanda Hao Mei en regardant les deux cartons d'œufs qui étaient déjà à l'intérieur du chariot ?
— Ils sont pour toi.
Les œufs à coquille verte étaient petits et chers. Ceux pour lesquels ils faisaient la queue étaient vendus à prix réduit. Bien qu'ils soient bon marché, ils étaient beaucoup plus gros. MoZhaHim comprit soudain pourquoi ses œufs de petit déjeuner étaient toujours plus petits que ceux de KO.
Il laissa échapper un léger soupir au fond de son cœur.
Ce salaud.
Il était foutu.
— Pourquoi es-tu comme Félix Grandet à autant te préoccuper du prix des œufs ? C'est juste pour acheter ma maison ? demanda-t-il ?
— La moitié, souligna KO en hochant la tête.
— Combien peux-tu économiser grâce à ça, demanda Hao Mei en essayant de garder son sang-froid.
KO ne répondit pas. Comme il avait toujours été pauvre, il avait l'instinct d'économiser son argent en achetant de la nourriture ou des vêtements à prix réduit. Bien sûr, même si son portefeuille était serré, il ne pouvait laisser sa femme souffrir, c'était aussi par instinct.
Hao Mei était perdu sans mots.
Ils rentrèrent chez eux, mangèrent tranquillement leur dîner, se brossèrent les dents, lavèrent le visage et allèrent au lit.
Le lendemain sur MSN:
— Il y a de nouvelles réglementations sur le marché du logement. Selon les informations, les prix de revente des maisons à Beijing ont chuté de 50%, écrit Hao Mei. J'ai décidé de te vendre la moitié de ma propriété ! Cependant, le prix sera basé sur sa valeur la plus élevée.
— Je n'ai pas économisé assez d'argent.
— Hypothèque.
— La banque ne veut pas me donner une hypothèque sur la moitié d'une maison.
— Pff ! Qui te dit d'obtenir une hypothèque de la banque ? Tu veux travailler pour une banque ? Pas question ! Je vais te donner une hypothèque. Quant au terme… tapa rapidement Hao Mei.
Il sourit devant sa fenêtre MSN.
— Pourquoi pas soixante ans ?
Les deux hommes prirent une matinée de congé avant de travailler l'après-midi.
— Où êtes-vous allés ? demanda YuGong avec désinvolture.
— Nous sommes allés chercher un certificat, répondit nonchalamment Hao Mei.
— Un-un… un cer-cer-cer… certificat ???!!!!
Hao Mei jeta un coup d'œil à son visage et en voyant son expression il réalisa à quoi pensait son ami.
— Nous sommes allés chercher un certificat de propriété. Qu'était ce que tu pensais que c'était ? Tu es tellement obscène, dit-il avec mépris.
YuGong se sentit lésé. Comment un certificat de mariage pouvait être obscène ? C'était plutôt vous les gars qui l'êtes pour faire des choses sans !!!
La nuit, après avoir couché ensemble, Hao Mei soupira.
— Ce n'est pas une mauvaise idée d'obtenir un certificat de mariage.
— L'immigration ?
— Pff ! Je suis né chinois et je mourrais en tant que tel. Immigrer dans un autre pays n'est pas assez créatif, dit Hao Mei avec dédain. Il frappa ensuite KO. Vois si tu peux pirater la base de données du gouvernement et nous obtenir un certificat. | | Messages : 181
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| Nirlaw Jeu 25 Juil 2024 - 14:25 Side Story 3 L'histoire de Xiao Bao Bei Le professeur Lin était heureuse. Pourquoi ? Sa belle fille était enceinte. Le professeur Lin était heureuse parce qu'elle n’avait jamais pensé qu'elle deviendrait grand-mère à seulement 47 ans, car devenir mère au début de la vingtaine était déjà tôt.
Le professeur Lin n'était pas d'humeur à travailler ce jour-là, alors elle fit le tour des gens pour les flatter subtilement, passant environ dix minutes avec chaque personne. Ainsi, il n'était pas l'heure du déjeuner que tout le département d'histoire était au courant de la naissance d'un autre génie dans la famille Xiao. À la fin de la journée, chaque professeur de l'université A était au courant de cette bonne nouvelle.
Dès qu'elle sortit du travail, le professeur Lin emporta un vieux dictionnaire original de Xinhua (1) et se dépêcha de se rendre chez le voisin, son fils.
Elle fut accueillie par sa belle-fille. Elle s'assit sur le canapé avec son fils et sa belle-fille en face d'elle. Le professeur Lin la regarda avec bienveillance. Ah- elle a aimé sa belle-fille dès qu'elle l'avait vue cette année-là. Maintenant, plus elle la voyait, plus elle l'aimait.
— Je suis ici aujourd'hui pour discuter du nom de mon petit-fils, dit gentiment le professeur Lin après avoir examiné Wei Wei de la tête aux pieds.
Wei Wei avait vu le dictionnaire que sa belle-mère portrait lorsqu'elle était venue et avait déjà une idée, elle n'avait donc pas été choquée.
— Cependant, j'ai déjà réfléchi à un nom en venant ici.
— Que diriez-vous de Xiao Bao Bei(2) ? dit le professeur Lin, avec un sourire réservé.
Wei Wei était choquée.
Ce prénom était ce qu'on appelle à la fois grossier, élégant, habille et maladroit. Le professeur Lin était satisfaite d'elle-même, car elle pensait avoir choisi un prénom exceptionnel. Craignant que sa belle-fille ne comprenne pas les avantages de ce prénom, le professeur Lin se lança immédiatement dans une explication.
— Belle-fille, tu vois, ce prénom contient ton nom de famille. Quand les autres le verront, ils sauront que c'est le tient.
Wei Wei était sans voix.
— Fils, tu vois, si tu mets le nom de ta femme dans celui de ton fils, quand les gens le verront, ils sauront à quel point tu aimes ta femme.
— …
Plus le professeur Lin y pensait, plus elle était satisfaite. C'était un prénom qui avait du sens et qui se lisait facilement. Il conviendrait parfaitement au petit-fils qu'elle attendait depuis longtemps. Cependant, ce prénom le suivra toute sa vie, il faut être prudent à ce sujet.
— Je vais appeler mon ami qui connaît bien l'étude des noms et lui demander ce qu'il en est.
Le professeur Lin était manifestement excité aujourd'hui. Dès qu'elle avait dit ça, elle prit le téléphone à côté du canapé et commença à composer le numéro, en quelques instants, elle se mit à parler sans arrêt avec la personne au bout du fil.
Sur le canapé en face d'elle, Wei Wei était encore complètement abasourdie.
— Je peux aller dans la chambre pour jouer ? chuchota Xiao Nai à son oreille après s'être penché.
Il voulait vraiment la laisser seule ici pour s'occuper de sa belle-mère ! Wei Wei lui lança un regard furieux.
— Prends la responsabilité de ce que tu as fait. Ne t'avise pas de t'enfuir.
Xiao Nai leva légèrement ses beaux sourcils, un éclair d'amusement traversa son regard.
— Tu es sûr que je l'ai fait tout seul ? demanda-t-il délibérément lentement.
Tu peux être encore plus effronté ? Wei Wei utilisa ses yeux pour exprimer son dédain.
Oui. Le Grand Maître utilise des mots pour exprimer ses limites.
— Madame, calmez-vous, je... marquant une pause, j'assume la responsabilité de ce que j’ai fait.
De l'autre côté, le professeur Lin avait presque fini de discuter avec l'expert.
— L'expert dit que ce prénom est bien. Je pense que nous devrions le choisir. Il peut être utilisé pour un garçon ou une fille, dit-elle après avoir raccroché.
Mon dieu, il n'en était pas question. Elle ne voulait pas que son enfant se plaigne d'elle toute sa vie. Wei Wei était sur le point de trouver une façon appropriée de la repousser quand Xiao Nai la précéda d'un pas.
— Non.
— Pourquoi pas ?
Le professeur Lin était furieuse que son fils ait posé son veto.
— C'est un nom réputé.
Wei Wei le regarda d'un air sceptique. Ce n'était pas possible. Un prénom aussi terrifiant était en fait réputé ?
Le professeur Lin était elle aussi méfiante.
— Je connais déjà quelqu'un qui porte ce prénom. Hier, je l'ai appelé plusieurs fois, dit calmement Xiao Nai, sous les regards méfiants de sa mère et de sa femme.
Wei Wei en était maintenant certaine, Xiao Nai disait n'importe quoi. Hier, c'était le week-end et il pleuvait. Ils étaient restés à la maison toute la journée. Quelle "Xiao Bao Bei" aurait-il pu connaître et même appeler plusieurs fois…
Attendez !
Xiao Bao Bei, Xiao Bao Bei…Xiao(3)...Bao Bei...Bao Bei…
Pas possible.
Des flash de ce qu’il s'était passé la nuit dernière et les nuits précédentes lui traversèrent l'esprit tandis qu'elle regardait une certaine personne lui sourire élégamment.
La couleur du visage de Wei Wei…
Devint rouge…
…puis pâle…
Puis mauve…
C'est alors que le pied d'un certain Grand Maître fut férocement piétiné.
— C'est vraiment un nom réputé ? Alors ce n'est pas bon, le nom de mon petit-fils doit être unique. Ne remarquant pas que le visage de sa belle-fille prenait des couleurs différentes, le Professeur Lin feuilleta à nouveau le dictionnaire, vexée. Alors, comment devrait-il s'appeler ?
La nuit approchait peu à peu, le moment de s'affairer arriva, et sa mère faisait les cent pas depuis longtemps. Son père devait déjà avoir faim à la maison, alors Xiao Nai conclut sans détour.
— N'a-t-il pas de mains ? Quand il sera né, il pourra le feuilleter lui-même.
…
Une certaine mère : Comment ai-je pu donner naissance à un tel fils…
Une certaine femme, Comment ai-je pu me marier avec un tel mari…
Un certain...fœtus, Comment ai-je pu être lié à un tel père, je veux me réincarner à nouveau ! Notes :1/ Nouveau dictionnaire chinois. C'est le dictionnaire le plus courant en Chine. 2/ C'est un jeu de mot entre le nom de Wei Wei, Bei et le mot Bao Bei qui veut dire trésor ou bébé. C'est un nom affectueux que l'on donne à un être cher. 3/ Xiao = petit/e Laisser Un Commentaire »»————- ★ ————-«« | | Messages : 181
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| Nirlaw Jeu 25 Juil 2024 - 14:25 Side Story 4 Bébé Xiao Produit du grand maître de l'informatique et de la belle du département, le petit garçon Xiao exprima son intérêt pour les ordinateurs dès son plus jeune âge. Il l'exprima ainsi : dès qu'il apprit à ramper, il s'approcha de l'ordinateur portable de son père, puis urina sur le clavier avec satisfaction, endommageant ainsi l'ordinateur de son père.
Bien entendu, lorsque son jeune papa revint après avoir pris un appel téléphonique dans le salon, il fut capturé et reçut quelques fessées sur ses fesses potelées.
Lorsqu'il grandit, il s'accrocha aux jambes de son père et ne le lâchait plus.
— Papa, achète un petit ordinateur pour Cong.
— Pourquoi veux-tu un petit ordinateur ?
— Pour travailler, répondit le petit Xiao avec assurance.
Son jeune papa se sentit tout de suite fier, car son fils allait pouvoir reprendre son entreprise. Il se pencha et le prit dans ses bras.
— Quel genre de travail ?
— Appuyer sur ABCD ! répondit Cong Cong.
— …
Le bébé Xiao fut appelé Xiao Ming Cong par son grand-père. Grand-père en fit toute une histoire et expliqua la signification du nom : "Ming" représentait le soleil et la lune brillants, le soleil et la lune étaient les esprits du ciel, "Cong" faisait référence à l'objet de jade, qui était l'essence de la terre.
Par conséquent, notre bébé Xiao Ming Cong était sans aucun doute l'esprit du ciel et de la terre, et l'essence du soleil et de la lune !
Ne nous inquiétons pas de l'orgueil d'un vieil homme. Si l'on considère qu'il s'agit de nommer un enfant, il n'était pas faux de l'appeler "essence". Les traits de son visage lui venaient plutôt de sa superbe maman, même à un si jeune âge, il avait des sourcils fins et de grands yeux ronds, il était beau et séduisant...et bien sûr, un peu potelé. Son intelligence et ses réflexes semblaient provenir de son père, il comprenait bien les grandes logiques, surtout les chiffres. Cependant, personne ne savait de qui il avait hérité sa vivacité et son désir de tout casser.
Un soir, après avoir endormi Cong Cong, Wei Wei demanda à Xiao Nai de s'asseoir dans le salon pour l'aider à ranger les jouets. Wei Wei regarda les jouets cassés et fissurés et dit, vexée.
— À qui ressemble Cong Cong ? Je n'ai jamais été une telle coquine quand j'étais petite. Certains de mes jouets sont bien entretenus et ma mère les garde encore. Cong Cong a-t-il hérité de ce côté de toi ?
— Non, nia Xiao Nai tout en pressant une roue tombée d’une voiture jouet, je n'ai jamais cassé mes propres jouets quand j'étais petit.
......Uh, et alors ?
— J'ai cassé pas mal de jouets d'autres enfants, répond Xiao Nai en se replongeant dans ses pensées.
— ...
D'accord, elle savait à qui ressemblait son fils. Mais Cong Cong, tu devrais apprendre de ton père ! Ne casse pas les jouets que papa et maman t'achètent.
Le petit garçon Cong Cong était énergique et vif en permanence, il n'aimait donc jamais être seul. Lorsqu'il ne savait pas encore marcher à quatre pattes, il babillait dans son propre langage de bébé à l'intérieur de son berceau, mais il devait avoir un public, sinon il se tordait et donnait des coups de pied en signe de protestation. Lorsqu'il avait pu ramper, il roulait son biberon avec lui et rampait partout dans ses couches. Il était encore plus vif depuis qu'il savait marcher.
L'endormir était le plus grand casse-tête de toute la famille. Le petit garçon savait très bien répartir les tâches entre son papa et sa maman. Son papa et sa maman allaient le chercher chez son grand-père et sa grand-mère tous les jours après le travail. Une fois qu'ils étaient rentrés à la maison et qu'ils avaient fini de dîner, il s'asseyait sur les genoux de son père pour le regarder utiliser l'ordinateur. Il babillait pour exprimer ses recommandations. Avant d'aller se coucher, il aimait s'accrocher à sa maman pour jouer avec elle et lui raconter des histoires. De plus, il refusait de dormir si sa maman ne l'accompagnait pas près du lit.
Wei Wei venait de finir d'endormir Cong Cong aujourd'hui, mais elle s'était également endormie sans le savoir. Après avoir dormi un moment, elle sentit que son corps était en apesanteur, quelqu'un l'avait soulevée hors de la chambre et l'avait mise sur un lit plus grand.
Wei Wei ouvrit légèrement les paupières, elle repoussa une certaine personne qui était en train de déboutonner son pyjama.
— Arrête, je n'ai pas l'énergie nécessaire.
Seule la moitié des boutons étaient défaits, mais c'était d'autant plus tentant que son corps était à moitié couvert et à moitié exposé. Un certain quelqu'un obéit à sa demande et cessa de les déboutonner. Au lieu de cela, il les tira tout droit vers le bas. Sa main se glissa à l'intérieur, il baissa son corps et lui dit à l'oreille.
— Wei Wei, ne perdons pas de temps. Finissons d'avoir tous les enfants dont nous avons besoin.
— Hein ?
La respiration de Wei Wei devint instable à cause de ses tripotages, ne comprenant pas ces mots.
La personne qui se trouvait au-dessus de son corps semblait être un peu en colère.
— Faisons-en un de plus, et laissons-les jouer seuls, dit-il.
Si les deux membres d'un couple marié étaient des enfants uniques, ils étaient autorisés à avoir deux enfants, conformément à la politique de la ville B. Ils étaient déjà d'accord sur ce point : ils auront deux enfants, mais Wei Wei n'avait jamais pensé qu'ils en auraient un autre si tôt. Ce n'était pas qu'elle s'inquiétait pour le travail, Wei Wei avait la chance d'avoir hérité du physique de sa mère, lors de sa dernière grossesse, elle n’avait pas eu de nausées matinales, son visage s’était rebondi et elle n'avait pas eu un seul bouton. Si elle faisait attention pendant les trois premiers mois, elle pourrait reprendre le travail comme avant.
Elle n'avait pas peur d'avoir un autre enfant, mais comment s'en occuper ? Pour l'instant, c'était grand-père et grand-mère qui gardaient Cong Cong la plupart du temps, car les professeurs d'université avaient plus de liberté. Ils avaient également engagé une baby-sitter pour les aider à d'autres moments et ils arrivaient à peine à s'en sortir. S'ils avaient un autre coquin comme Cong, est-ce que grand-mère et grand-père allaient protester et refuser de les aider ?
Xiao Nai avait parlé d'avoir un autre bébé quand ils étaient au lit la dernière fois, mais il n'en avait plus jamais parlé. Wei Wei supposait qu'il n'y pensait que par impulsion et elle n'y prêta plus attention. Quelques jours plus tard, Xiao Nai emmena son fils à la librairie et revint avec une pile de livres pour enfants. Il s'assit par terre, au soleil, et commença à les lire à leur fils.
Sa voix était toujours aussi froide, mais sous la lumière qui brillait, accompagnée du babillage de l'enfant, elle semblait douce et relaxante. Wei Wei s'assit à côté de lui, prit au hasard un livre de cuisine et commença à parcourir les recettes tout en l'écoutant lire les histoires en même temps...Plus elle écoutait, plus cela lui paraissait étrange.
D'habitude, Xiao Nai changeait le nom des personnages principaux en Ming Ming ou Cong Cong.
Dans le premier livre pour enfants, on pouvait lire :
— Ming Ming emmène sa petite sœur pour faire sortir les moutons. Ils arrivent sur le flanc d'une colline couverte d'herbe...
Le deuxième livre :
— Xiao Chong, Xiao Ya et Xiao Zhu vivent dans la forêt. Ce sont trois frères et sœurs heureux.
Le troisième livre :
— Le grand frère Chong Chong et la petite sœur Xiao Zhu...
Cong Cong se sentit un peu contrarié après avoir écouté les histoires de N. Il protesta.
— Pourquoi Cong Cong n'a-t-il pas de petite sœur comme Xiao Zhu ?!
Wei Wei entendit alors une certaine personne répondre nonchalamment.
— Tu en auras une bientôt.
— …
Wei Wei se redressa et le frappa avec le livre.
— Qu'est-ce que tu fais…
— Je prépare Cong Cong à avoir la responsabilité d'être un grand frère.
— …
Cong Cong fit sa déclaration finale.
— Maman, Cong Cong veut emmener sa petite soeur Xiao Zhu jouer dehors.
Deux ans plus tard, Wei Wei était à nouveau enceinte. Leurs parents étaient les premiers à l'apprendre et étaient ravis de la nouvelle, ils n'attendaient rien de plus, ils voulaient simplement profiter de leur vie avec de nombreux petits-enfants.
Les colocataires de Wei Wei l’apprirent également peu après. Elles l'appelèrent pour lui faire part de leur choc.
— Wei Wei, comment se fait-il que ton Grand Maître soit si enthousiaste à l'idée d'avoir des enfants ? dit Xiao Ling
— Il aime gagner des batailles courtes, dit Wei Wei.
Er Xi dit : "
— Toi et ton Grand Maître. Vous avez commencé à sortir ensemble juste après votre rencontre. Vous vous êtes mariés juste après avoir obtenu votre diplôme. Juste après le mariage, vous avez eu un bébé. Il ne s'est même pas écoulé beaucoup de temps depuis votre premier bébé et maintenant vous en avez un deuxième. Oh Wei Wei, qu'est-ce que tu fais maintenant ? dit Er Xi.
— Je vais lui demander ce qu'il a prévu de faire ce soir.
— Boohoohoo...... tu as déjà deux enfants, et je suis toujours une femme célibataire. Ce n'était pas possible. Peu importe à quoi ressemblera mon prochain rendez-vous arrangé, je me marierai ! dit Si Si.
Pour ce qui était du bureau, Wei Wei portant des vêtements antiradiation, tout le monde comprit sans poser de questions. Mais la foule cria son mécontentement, estimant que Xiao Nai était trop impudique. Comment quelqu'un pouvait-il être comme ça ? Avoir un pas d'avance, c'était bien, deux pas, c'était déjà suffisant, mais là, il en a un de plus. Il était vraiment trop effronté.
— Quand est-ce que j'aurai un enfant ? ! s'écria YuGong.
— Tu devrais essayer de mettre fin à ta virginité d'abord, dit MoZhaHim.
— D'accord, je sais que tu as déjà mis fin à ta virginité. Tu n'as pas besoin de te montrer, dit YuGong.
— J'y ai mis fin mais ce n'est pas comme si je pouvais avoir un bébé. À quoi ça sert ? dit MoZhaHim irrité.
Avant que tout le monde ne comprenne le sens de ses paroles, le collègue réputé gynophobe(1) nommé Shuang murmura.
— Je ne veux pas de femme, mais je veux des enfants. Comment dois-je faire ?.
Tout le monde commença à exprimer ses objections.
— J'ai seulement entendu parler d'abattre un taureau sur l'autre colline, mais je n'ai jamais entendu parler d'avoir un bébé sorti de nulle part…(2).
Le deuxième bébé de Wei Wei était particulièrement calme. Sa grossesse se déroula encore mieux que la première, elle ne ressentit aucune maladie. Du coup, tout le monde pensa qu'il s’agirait d'une fille, et ils décidèrent de lui donner un nom. Elle s’appellerait Xiao Ming Yue.
Mais dix mois plus tard, à la naissance du bébé, il s'avérait que c'était un garçon. Tout le monde était un peu déçu par cet imprévu, mais ils étaient tout de même ravis d'accueillir le nouveau-né. Ils allaient changer le nom, mais la diseuse de bonne aventure que grand-mère connaissait très bien avait dit qu'en fonction de l'heure de naissance et du poids du bébé, il serait préférable de l'appeler Xiao Ming Yue. Ils ne devaient pas changer le nom. Par conséquent, bien qu'il s'agisse d'un garçon, il s’appellerait Ming Yue.
Le bébé Ming Yue était un bébé calme et tranquille. Ce qu'il faisait le plus, c'était dormir, sinon, il était plongé dans ses pensées à l'intérieur de son berceau. Si quelqu'un venait le voir, il se couchait tranquillement dans son berceau, fixait la personne et, après l'avoir étudiée pendant un moment, il tournait la tête, fermait les yeux et continuait à dormir.
Ils ne pouvaient pas dire de qui il tenait ses qualités pour le moment, mais Wei Wei avait l'impression qu'il ressemblait davantage au Grand Maître. Mais encore une fois, même le Grand Maître n'était pas aussi ennuyeux.
Soupir..
Wei Wei était perplexe. Comment se faisait-il que les deux garçons qu'elle avait, l'un était extrêmement espiègle et l'autre était extrêmement calme et silencieux ? Leurs personnalités ne pouvaient-elles pas être plus équilibrées ? Comment leurs qualités s'étaient-elles réparties ?
Wei Wei, qui s'ennuyait beaucoup depuis son congé de maternité, passait le temps en réfléchissant à ce problème.
Après la naissance de son petit frère, Cong Cong était devenu beaucoup moins énergique. Il se tenait souvent sur un petit tabouret et planait au-dessus du berceau pour observer son petit frère. Il lui parlait, le caressait de ses mains potelées et le pinçait, mais il ne dérangeait pas Bébé Ming Yue.
Ming Cong lui chantait une chanson qu'il avait apprise à la télévision. Le bébé, plongé dans ses pensées, l'écouta un court instant, puis il tourna son corps potelé, utilisa ses fesses pour lui faire face et commença à dormir. Le grand frère n'aimait pas chanter en direction d'un derrière potelé, alors il s'arrêta. Après avoir été déçu pendant une demi-journée, il courut vers le côté du lit de sa mère et dit avec inquiétude.
— Maman, le petit frère a l'air d'être un peu bête.
Wei Wei s'étouffa avec la soupe de poulet qu'elle était en train de boire.
Ming Cong s'inquiéta pendant de nombreux jours de voir son petit frère débile. Ce n'était que lorsqu'il entra à l'école maternelle qu'il se sentit soulagé. Le premier jour où il revint du jardin d'enfants, il dit à sa mère, tout excité.
— Maman, ce n'était pas grave que le petit frère soit bête. Les enfants du jardin d'enfants sont tous très bêtes.
— … Notes :1/ gynophobe: phobie des femmes 2/ les deux sont impossibles et constituent un gaspillage d'efforts. "briser un taureau sur l'autre colline" est un mouvement mythique d'arts martiaux, qui consiste à frapper une personne/barrière et à vaincre les autres personnes environnantes, mais pas la personne/barrière). Laisser Un Commentaire »»————- ★ ————-«« | | Messages : 181
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| Nirlaw Jeu 25 Juil 2024 - 14:26 Side Story 5 Le clair de lune des frères devant le lit Apprendre à Ming Cong à réciter des poèmes.
— La lumière de la lune brille devant mon lit, le sol semble couvert de givre, quand je lève la tête, je vois la lune, et quand je baisse la tête, je pense à la maison. (1)
Bien que Cong Cong ait compris dès qu'on lui avait enseigné, Wei Wei pensa que les enfants oublient facilement, et elle lui réapprit donc le lendemain. Le troisième jour, Wei Wei continua de la réviser avec lui.
— Le clair de lune qui brille devant mon lit…
— Maman, c'est le seul poème que tu connais ? Grand-mère et grand-père connaissent beaucoup de poèmes, demanda solennellement Cong Cong.
— Maman a étudié les sciences... appelle ton papa pour qu'il t'apprenne…, répondit Wei Wei, honteuse.
Après avoir été dédaignée par son fils, Wei Wei, furieuse, alla chercher son mari dans le bureau et lui jeta l'anthologie de poèmes qu'elle tenait dans les mains.
— Va enseigner. Les gènes de ta famille sont trop tyranniques...
Le père, qui avait été chassé de l'étude, alla s'asseoir à côté de son fils. Il regarda le livre qu'il avait entre les mains : les Cent poèmes pour enseigner aux enfants. Tous les poèmes qu'il contenait étaient très faciles et simples. Xiao Nai le feuilleta un peu, puis jeta le livre de côté, prit son fils dans ses bras et choisit un poème à lui enseigner.
— Une capitale de jade blanc dans les cieux, comme les cinq tours et les douze portes…
Il s'agit également d'un poème du grand Li Bai, intitulé "Remerciement à l'empereur à la fin de ce monde chaotique, souvenir de mon temps ici, un poème pour le préfet Wei Liang Zai de Jiangxia", le nom était long, et le poème entier était encore plus long... Le petit Cong Cong ne savait plus où il en était. Une certaine personne ne trouvait pas honteux d'intimider son fils et tapota sa petite tête avec satisfaction.
— À l'avenir, n'intimide pas la femme de papa.
Wang, le professeur de maternelle, aimait beaucoup Cong Cong et le taquina en disant.
— Cong Cong peut réciter de la poésie ?
— Oui.
— Quels poèmes peux-tu réciter ?
Cong Cong tourne la tête.
— Tous.
Le professeur resta sans voix.
— Alors quel est le poème préféré de Cong Cong ?
Cong Cong récita sans réfléchir en jouant avec le petit train.
— Le clair de lune brille devant mon lit, le sol semble couvert de givre, quand je lève la tête, je vois la lune, et quand je baisse la tête, je pense à la maison.
Le professeur ne pensait pas qu'il pouvait réciter ce poème avec autant d'aisance et lui demanda, agréablement surpris.
— Pourquoi Cong Cong aime-t-il ce poème ?
— Parce que le petit frère est un clair de lune (Ming Yue) ! dit haut et fort Cong Cong en levant la tête.
L'enseignante ne savait plus où donner de la tête.
— Qu'est-ce que tu racontes, Cong Cong ?
Très bientôt, l'école maternelle allait organiser des réunions parents-professeurs et les enseignants devaient planifier un programme pour montrer aux parents les résultats de l'éducation. Le programme pour lequel l'enseignante Wang s'était inscrite consistait à faire réciter des poèmes à Bébé Xiao.
Le directeur de l'école maternelle testa la qualité du programme à l'avance et était très satisfait de la récitation de poèmes de Cong Cong. Voyant que le directeur était satisfait, l'enseignant procéda à une autre démonstration.
— Il comprend même la signification de ce poème.
— Vraiment ? dit le directeur très surpris et demanda. Cong Cong, alors que signifie 'Le clair de lune qui brille devant mon lit' ?
Empilant ses blocs de construction, Cong Cong, avec sa voix de bébé et son énergie, répondit avec certitude.
— Le jeune frère qui est au pied du lit ne porte ni chemise ni pantalon(2) !
— …
— Ce professeur Wang...dit le principal.
Le professeur devint émotif, il disait encore clairement que le clair de lune brillait au pied du lit, hier !!! Comment cela a-t-il pu devenir une réponse aussi restrictive ? !!!
Hélas, Professeur... ceux qui portent le nom de famille Xiao seront invariablement redoutables, des plus jeunes aux plus âgés. Notes :1/ poème de Li Bai/Bo 2/ Ming Yue est le nom de son jeune frère et Guan peut être utilisé pour signifier léger ou vide/utilisé/nu. Laisser Un Commentaire »»————- ★ ————-«« | | Messages : 181
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| Nirlaw Jeu 25 Juil 2024 - 14:26 Side Story 6 Cong Cong prend la responsabilité de son petit frère Partie 1 Lorsque Wei Wei et Xiao Nai arrivèrent chez leur grand-mère aujourd'hui avec leurs deux enfants, celle-ci leur annonça la bonne nouvelle : elle avait accepté de faire une publicité au nom de Cong Cong !
Bien qu'il s'agisse d'une demande de la part d'un parent et que ce ne soit qu'une séance de photos qui ne sera pas diffusée à la télévision, Wei Wei était tout de même un peu inquiète. Elle se sentit troublée pendant tout le trajet qui les ramena à la maison.
— Cong Cong est encore petit. Est-ce que ce ne serait pas trop pour lui de participer à des publicités ?
Xiao Nai, quant à lui, ne vit pas d'inconvénient à ce que son fils apparaisse dans des publicités. Après tout, c'était un garçon, il n'y a pas lieu de s'en préoccuper outre mesure.
— C'est bon, laissons-le s'amuser, dit Xiao Nai en conduisant. Il devrait nous aider à gagner de l'argent pour couvrir nos frais de subsistance.
— …
Wei Wei jeta un coup d'œil aux deux garçons sur la banquette arrière, qui n'avaient pas plus de six ans à eux deux, puis tourna tranquillement la tête sur le côté.
Bien que Xiao Nai ait déjà accepté la séance photo, Wei Wei était toujours inquiète. Son fils avait toujours été intelligent, alors elle décida de négocier avec Cong Cong comme s'il était un adulte.
— Cong Cong, es-tu prêt à tourner une publicité ?
— Qu'est-ce qu'une publicité ?
— C'est prendre des photos et les faire voir à beaucoup de monde.
Cong Cong se renfrogna, l'air troublé. Finalement, il jeta un coup d'œil à son petit frère qui dormait profondément.
— Cong Cong le fera, dit-il avec détermination
Par coïncidence, le jour de la séance photo, tous les membres de la famille avaient d'autres chats à fouetter, si bien que Wei Wei n'avait d'autre choix que d'emmener Ming Yue au studio. Heureusement, Cong Cong se comporta bien, elle n'avait donc pas besoin de faire trop d'efforts pour s'occuper de lui. Il marcha à côté de Wei Wei sur ses petits pieds potelés et s'était également porté volontaire pour tenir le biberon de son petit frère.
Lorsqu'ils arrivèrent au studio, la beauté des deux garçons attira immédiatement l'attention de tout le monde. Wei Wei jeta un coup d'œil autour d'elle, le studio semblait répondre à ses attentes, le personnel était attentionné et le photographe était très gentil, il n'arrêtait pas de promettre qu'il ne ferait pas mal aux yeux de son enfant, si bien que Wei Wei se sentit enfin plus à l'aise.
Pendant la séance photo, Wei Wei voulait aller aux toilettes et demanda à un membre du personnel de l'aider à surveiller les garçons pendant quelques minutes. Il y avait quelques filles dans l'équipe, elles avaient longtemps été captivées par la beauté des garçons, et une fois que Wei Wei fut partie, elles se pressèrent autour d'eux pour jouer avec eux.
— Cong Cong, quel âge as-tu ?
— Cong Cong a quatre ans. Mon petit frère a un an et demi, dit Cong Cong d'une voix enfantine.
— Cong Cong, donne le biberon à tatie. Elle t'aidera à nourrir ton petit frère, d'accord ?
Cong Cong tint fermement le biberon, exprimant son désaccord.
— Si mignon !
Les yeux de l'employée brillèrent.
— Cong Cong, tu aimes faire de la publicité ?
— Non, dit Cong Cong en secouant la tête.
Les membres de l'équipe se regardèrent avant de dire.
— Comment se fait-il que Cong Cong soit ici pour la séance photo ?
Cong Cong fut un peu découragé par leur regard, alors il tint le biberon de son petit frère, tira la poussette avec lui et dit, la tête baissée.
— Cong Cong a besoin de gagner de l'argent pour couvrir ses frais de subsistance et ceux de son petit frère.
Lorsque Wei Wei revint des toilettes, elle sentit que tout le monde la regardait bizarrement. Qu'est-ce que c'était que ces regards inamicaux ?
Wei Wei ne comprit pas pourquoi tout le monde avait changé après une pause aux toilettes… | | Messages : 181
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| Nirlaw Jeu 25 Juil 2024 - 14:26 Side Story 7 Cong Cong prend la responsabilité de son petit frère Partie 2 MoZhaHim aimait beaucoup les enfants, mais il était évident qu'il ne pourrait leur donner naissance. C'était pourquoi il apportait souvent des collations préparées par KO chez Wei Wei pour tenter d'attirer Cong Cong à la maison avec lui.
Aujourd'hui encore, il apporta chez Wei Wei des biscuits aux cacahuètes spécialement préparés par KO, pour essayer d'enlever Cong Cong comme d'habitude.
— Cong Cong, aimerais-tu venir jouer chez Ge Ge ? Ge Ge t'apprendra à jouer. L'oncle KO sait aussi préparer de nombreux en-cas.
Un certain effronté se fait souvent appeler Ge Ge parce que son visage est rond et doux. Cependant, il n'ose s'appeler ainsi que lorsque personne n'est là, car lorsque Oncle KO l'a entendu la dernière fois, il avait reçu une leçon sur le fait d'appeler quelqu'un Oncle à......un endroit pas si innocent que cela.
MoZhaHim continua de persuader Cong Cong sans vergogne.
— Cong Cong, viens chez Ge Ge. Ainsi, ton papa et ta maman auront le temps de te donner une petite sœur. Cong Cong ne voulait-il pas une petite sœur ?
— Je ne veux plus de petite sœur, dit Cong Cong en secouant fermement la tête tout en mangeant les petits biscuits.
— Pourquoi ? demanda MoZhaHim avec curiosité. Il se souvenait très bien qu'il avait dit qu'il voulait une petite sœur la dernière fois.
— Parce que les économies de Cong Cong ne suffisent qu'à couvrir les dépenses du petit frère, expliqua-t-il en détresse. | | Messages : 181
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| Nirlaw Jeu 25 Juil 2024 - 14:27 Shan Side Story 1 Xue Shan Shan était une novice en matière de jeux en ligne......
À quel point était-elle novice ? Elle était tellement novice que......elle n'osait accomplir des quêtes que seule pour monter en niveau. Elle n'avait pas le courage de faire équipe avec d'autres, de peur que si elle faisait un mouvement créatif ou utilisait une compétence imprévisible et magnifique, tout son groupe mourrait.......
C'était pourquoi, bien qu'elle soit la femme du patron de Feng Teng Technology et qu'elle ait obtenu le meilleur équipement sous la table grâce à son statut, elle osait seulement se tenir devant l'entrée d'une quête de haut niveau, seule et impressionnante, refusant de se joindre à un groupe.
Mais son équipement attirait trop l'attention, et son avatar se tenait seul, l'air désolé, comme un grand joueur de haut niveau. C'était pourquoi les autres joueurs ne cessaient de l'inviter à leurs soirées, et Shan Shan avait le doigt presque engourdi à force de cliquer sur le bouton de refus. Elle n'avait d'autre choix que de mettre un titre sur sa tête.
Huit mots : Une coéquipière aussi bête qu'un cochon.
Le monde était immédiatement calme.
Jusqu'à ce qu'elle se lie d'amitié avec Bei Wei Wei !
Elle était comme une déesse.
— Wei Wei, es-tu vraiment prête à me guider ?
— Oui.
— Je suis vraiment stupide. Je vais faire mourir toute l'équipe !
— C'est bon. Tu dois juste rester debout et ne pas bouger.
— Wei Wei, tu es trop gentille bouhouhouhu. Comment se fait-il que je n'ai pas pu te rencontrer plus tôt ?
Shan Shan était en train de faire son retour dans les jeux en ligne. Pendant sa grossesse, elle avait complètement arrêté de jouer. Maintenant que son bébé n'utilisait plus le biberon et vu que son patron ne la laissait toujours pas reprendre le travail, Shan Shan ne pouvait s'empêcher de s'ennuyer. Lorsque le bébé n'avait pas besoin de son attention, elle allait jouer un peu en ligne.
Il va sans dire qu'avoir quelqu'un pour la guider était un vrai bonheur ! Xue Shan Shan n'avait jamais connu ce sentiment auparavant, il lui suffisait de se promener, de profiter du paysage, et son niveau d'expérience et son argent augmenteraient d'eux-mêmes. Si elle ne voulait pas se promener, il lui suffisait d'activer la fonction de suivi et elle pouvait alors s'abrutir en regardant l'écran.
Un jour, alors qu’elles avaient toutes les deux du temps libre, Wei Wei l'emmena accomplir quelques quêtes, mais tout d'un coup, la Wei Wei à l'écran se figea et ne bougea plus.
[Canal du groupe :]
RoseauWeiWei : Shan Shan, désolé. Je dois d'abord m'occuper de quelque chose.
LeMaitreS'OccupeDeSonBB : D'accord, vas-y.
Le mari de Wei Wei devait être rentré. Shan Shan était très expérimentée en la matière, elle pariait que Wei Wei allait revenir dans un instant et lui dire qu'elle allait se déconnecter pour le reste de la journée.
Shan Shan jeta un coup d'œil à l'heure qui s'affichait sur l'ordinateur. Bon sang, il était déjà si tard. Le mari de Wei Wei était déjà rentré du travail, mais pourquoi son propre mari était-il encore en réunion ?
Devrait-elle aller lui apporter un en-cas de fin de soirée ?
Alors que Shan Shan était en train de débattre dans sa tête, la Wei Wei à l'écran bougea soudainement.
LeMaitreS'OccupeDeSonBB : Tu es de retour ? Tu veux toujours continuer ?
RoseauWeiWei : Ouais.
Shan Shan rejeta immédiatement son patron coincé dans une réunion à l'arrière de ses pensées, elle suivit Weiwei joyeusement pour gagner de l'expérience.
Alors que Shan Shan suivait joyeusement Wei Wei tout en ramassant les objets abandonnés, un message apparut sur le canal du groupe.
— Tante, arrête de ramasser les objets par derrière. Je vais bientôt combattre le boss, alors si tu me suis trop loin, tu ne gagneras pas d'expérience.
Tante ?
Shan Shan était frappée de stupeur. Au bout d'un moment, une idée effrayante lui vient à l'esprit.
— Tu es …Cong Cong ?
— Mm !
— Où est ta mère ?
— Papa est de retour. Maman et papa jouent ensemble. Cong Cong jouait avec son petit frère. Petit frère est allé dormir, alors Cong Cong joue sur l'ordinateur.
Shan Shan répondit avec beaucoup de difficulté : "......
— Cong Cong… tu es si intelligent…ta petite paire de mains sait taper tant de mots.
— Mm ! Grand-mère (paternelle) a dit que Cong Cong, petit frère et papa sont aussi intelligents. Grand-mère (maternelle) a dit que Cong Cong et petit frère sont plus intelligents que maman !
— Wei Wei, ton statut dans la famille ne pose-t-il vraiment aucun problème ?
— Tante ! J'ai fini.
Shan Shan regarda tranquillement le boss de la quête tomber au sol. Elle s'approcha tranquillement et récupéra les objets que le boss avait laissé tomber…
Le niveau entre une personne et une autre était trop élevé…
L'enfant de quelqu'un était déjà capable de la guider dans les jeux en ligne… | | Messages : 181
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| Nirlaw Jeu 25 Juil 2024 - 14:27 Shan Side Story 2 Le boss PK le grand maître Lorsque Feng Teng entra dans la chambre, il vit Shan Shan fixer l'écran de l'ordinateur avec des yeux pétillants.
— Tu joues encore à des jeux en ligne ? dit Feng Teng qui enlevait sa veste et s’approchait.
— Dépêche-toi de venir voir. Il est trop cool !
Le regard de Shan Shan était fixé sur l'ordinateur. Lorsqu'il s'approcha, elle l'attira directement vers elle et lui montra la silhouette fringante qui se déplaça rapidement sur l'écran.
— Regarde ! Le mari de Wei Wei est en train de PK un autre joueur. Ses mouvements sont trop cool !
Feng Teng fit un tour d'horizon, puis reporta son regard sur le visage de sa femme…
Et puis…
Comment les choses avaient-elles pu prendre une telle tournure ?
Shan Shan était accroupie à côté de la table, le menton posé sur le plateau. Elle regardait son ordinateur avec un air déprimant, car il était désormais en possession du patron.
Le patron avait sombré dans l'abîme… Il lui avait en effet arraché le jeu pour qu'il y joue. Et pour commencer, il avait choisi le défi le plus difficile ! Il invitait Xiao Nai à jouer au PK alors que c'était la première fois qu'il jouait.
Il venait juste d'apprendre à marcher, alors quelles étaient ses compétences ?
Pourtant, il osait l'affronter !
Comme prévu….il mourut rapidement.
Shan Shan détourna la tête car elle ne supportait pas de voir le résultat.
Feng Teng la regarda et laissa échapper un hmph !. Il se concentra sur la lecture des compétences de l'avatar. Après l'avoir familiarisé à nouveau, il invite SourireNaiHe à un second round de PK.
Il parvint cette fois à supporter le combat pendant trois minutes.
La troisième fois…
Il était en fait capable de résister un peu plus longtemps.
La quatrième fois…
Il n'était toujours pas tombé après avoir combattu si longtemps.
Shan Shan regarda l'écran avec anxiété. Au bout d'un moment, elle écarquilla les yeux sous le choc et s'exclama avec enthousiasme.
— AHHH ! Il n'est plus bleu ! Tu as gagné !
— Je suis aussi éliminé.
Après que Feng Teng eut fini d'énoncer les faits de sa voix calme, les deux personnages qui volaient sur l'écran se séparèrent immédiatement, ils s'assirent chacun d'un côté pour méditer afin de reconstituer leur santé.
— Alors, tu es à égalité ? Tu as fait match nul avec SourireNaiHe ! ajouta, avec enthousiasme, Shan Shan.
SourireNaiHe était un personnage tellement magnifique mais le patron fut capable de l'égaler dans un combat aussi rapidement !
Shan Shan trouvait que le patron était incroyable. Elle s'accroupit à côté de ses jambes et les étreignit en exprimant son adoration.
— Tu es si puissant.
Bien que les yeux brillants de sa femme le regardaient enfin, perdre trois rounds avant d'égaliser sur le dernier était une gêne pour le PDG Feng, qui avait toujours été un gagnant dans la vie.
C'était pourquoi.....il tapa calmement un message.
— C'est ma femme qui jouait tout à l'heure.
Shan Shan à côté de lui était confuse.
De l'autre côté, Xiao Nai répondit calmement.
— C'est mon fils qui jouait à l'instant.
Wei Wei à côté de lui était confuse.
Wei Wei était éclairée. Il n'était pas étonnant qu'ils puissent être des partenaires commerciaux. Ils étaient tout aussi éhontés !
— C'est bien que tu dises ça ? Le PDG Feng n'est-il pas le plus gros investisseur de notre entreprise ? demanda Wei Wei.
— Ce n'est pas grave. Tout l'argent que Feng Teng a investi dans l'entreprise a déjà été utilisé, répondit Xiao Nai avec sang-froid.
— …
De l'autre côté.
Shan Shan se plaignit.
— Tu as déjà perdu. Si tu ne nous avais pas empêchés d'avoir des enfants, nous aurions pu dire que c'était notre bébé qui jouait.
Le visage de Feng Teng était très sombre, mais il fredonna en signe d'assentiment.
— Mm.
— À quoi penses-tu ? demanda Shan Shan.
— J'ai soudain réalisé que je n'ai pas revu les projets de Zhi Yi depuis longtemps, alors j'ai l'intention de trouver du temps pour y jeter un coup d'œil, répondit Feng Feng.
— Tu essaies juste de trouver un moyen de venger ton injustice personnelle par le travail, dit Shan Shan. | | Messages : 181
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| Nirlaw Jeu 25 Juil 2024 - 14:27 Shan Side Story 3 Le directeur général de Feng Teng Technology était soumis à une forte pression ces jours-ci.
Le PDG Feng, qui ne se préoccupait habituellement que de la situation opérationnelle de l'entreprise, souhaitait soudain examiner les détails d'un jeu en ligne développé par l'une de ses entreprises partenaires. Que se passait-il ? Il était tellement précis qu'il exprimait qu'une certaine carrière d'un avatar était trop forte, et qu'il fallait donc l'affaiblir pour l'équilibrer avec les autres…
Le directeur général réunit rapidement son personnel pour une réunion de service.
— Quelqu'un pense-t-il que le musicien est trop fort parmi toutes les carrières disponibles ? Devrions-nous l'affaiblir ?
Ses collaborateurs se regardèrent les uns les autres.
— Il est vrai que ce type de carrière a été très fort dans le passé, mais après l'avoir modifié plusieurs fois, ses compétences ont déjà été beaucoup affaiblies. Cela a déjà provoqué un tollé chez les joueurs. Si nous continuons à l'affaiblir, nous craignons que les avatars de ce type de carrière deviennent inutiles, dirent-ils.
Le directeur général était aussi très vexé.
— C'est un ordre du PDG Feng. Ce dernier ne s'est jamais intéressé aux détails des jeux en ligne. Pourquoi a-t-il soudainement…
— Si je me souviens bien, Xiao, le PDG de Zhi Yi, est un musicien dans le jeu…Se pourrait-il que le PDG Feng soit allé PK avec lui ? l'interrompit l'un des membres du personnel.
--Quelqu'un a levé le voile sur la vérité !
Les membres du personnel se regardèrent les uns les autres et pensèrent que c'était tout à fait possible. Tout d'abord, le fait que le PDG Feng connaisse ce personnage signifie qu'il avait déjà joué à ce jeu. S'il y a vraiment joué, il était très probable qu'il l'ait fait avec le PDG Xiao et qu'il ait perdu à coup sûr.
Le directeur général rappela rapidement à tout le monde.
— Assurez-vous d'oublier tout cela dès que vous quitterez cette salle de conférence !
— Il ne faut surtout pas que les autres sachent que notre patron a perdu contre notre entreprise partenaire dans un jeu !
Les membres du personnel hochèrent la tête.
— Alors, devons-nous encore affaiblir les compétences du musicien ? demandèrent-ils.
— Non. Même si nous l'affaiblissons, le PDG Feng ne pourra toujours pas gagner. C'est un gaspillage d'efforts, répondit le directeur général.
— Monsieur le directeur général, vous avez le droit d'être aussi direct ? dit un membre du personnel.
— Assurez-vous également d'oublier ce que je viens de dire en quittant cette salle de conférence, continua le directeur général.
Quelques jours plus tard, le directeur général de Feng Teng Technology rentra en titubant dans son service après une réunion.
— Oh, Xiao Han, je ne vais peut-être pas rester longtemps dans l'entreprise, dit-il à son personnel, les yeux humides.
— Il s'est passé quelque chose lors de la réunion de tout à l'heure ? demanda Xiao Han, choqué.
— Ce n'était pas pendant la réunion, c'était après. Le PDG Feng m'a dit de rester derrière et il m'a interrogé sur la demande d'affaiblissement du musicien, répondit le directeur général.
— Alors...... comment avez-vous répondu ?
— J'ai dit que l'affaiblir ne servirait à rien. PDG Feng, pourquoi je ne vous aiderais pas à obtenir des codes de triche ?
— …Comment pouvez-vous lui dire ce que vous ressentez dans votre cœur ? Directeur général, depuis que vous avez été transféré dans une entreprise de technologie, vous avez passé trop de temps avec les programmeurs, n'est-ce pas ? On dirait que vous n'êtes plus capable de dire la vérité !
— Xiao Han, combien de temps pensez-vous que je vais tenir ? dit le directeur général d'un ton déprimant.
— Directeur général, je vous suivrai partout où vous irez ! répondit Xiao Han avec détermination.
De l'autre côté de la ville B.
YuGong entra dans le bureau de Xiao Nai.
— Qu'est-ce qu’il se passe ? Qu'est-ce qu’il se passe ? Pourquoi Feng Teng Technology se montre-t-elle si pointilleuse tout d'un coup ? Ils nous ont donné tellement d'informations sur des points précis.
— Rien. J'ai joué quelques combats PK avec leur PDG Feng dans le jeu récemment, dit Xiao Nai après avoir détourné son regard de l'ordinateur pendant quelques secondes.
— Donc tu as réduit notre investisseur en plusieurs morceaux ?
— Ce n'est pas moi qui l'ai fait. D'habitude, je le laisse se battre avec moi, mais il y a quelques jours, après que nous ayons terminé un combat PK, il m'a demandé comment était sa compétence, dit Xiao Nai.
— Comment lui as-tu répondu ? Pourquoi est-ce que je me sens soudainement impuissant ? Tu n'as pas dit quelque chose de regrettable, n'est-ce pas ?
— Détends-toi, je suis toujours indirect avec mes mots, dit Xiao Nai sans se préoccuper de rien.
YuGong se sentit de plus en plus désemparé.
— Qu'as-tu dit exactement ?
— J'ai dit : "tu es à peu près au même niveau que ta femme".
— …
YuGong sortit de son bureau en s'appuyant sur le mur. | | Messages : 181
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| Nirlaw Jeu 25 Juil 2024 - 14:28 Shan Side Story 4 Depuis que Feng Teng a été entrainé par sa femme dans les jeux en ligne, il s'intéressait de plus en plus au développement des jeux de l'entreprise. Le résultat global était le suivant :
1) Il aimait faire des suggestions pas très constructives pour équilibrer les compétences des personnages, ce qui poussait le directeur général de Feng Teng Technology à souhaiter ardemment que le PDG Feng s'éloigne rapidement du clavier,
2) Chaque fois qu'un nouveau jeu sortait, il insistait pour le tester avec tout le monde, y compris les membres de sa famille.
Voyage de Rêve à Rivières et Lacs 2 avait récemment lancé une nouvelle quête intitulée "Bataille au temple Xuan Wu". En conséquence, le PDG Feng emmena sa femme pour former un groupe, qui comprenait bien sûr le PDG Xiao, Mme Xiao ainsi que d'autres coéquipiers habituels.
Dès le premier essai, Shan Shan mourut au bout de vingt minutes. Le PDG Feng n'était pas content et exprima son opinion en tant que représentant de la société d'investissement.
— Ce n'est pas possible. La difficulté de cette nouvelle quête était trop facile.
Au deuxième essai, Shan Shan mourut au bout de dix minutes de jeu.
— Mm, c'était encore un peu trop facile, dit le PDG Feng, le représentant de la société d'investissement
Par conséquent, lors du troisième essai, Shan Shan mourut au moment où elle entra dans la quête.
— C'est à peu près ça, dit le patron, satisfait.
Shan Shan était malheureuse et indignée. Son mari était-il seulement humain ? Si elle et Feng Teng s'étaient rencontrés dans un jeu en ligne comme Wei Wei et Xiao Nai, ils ne seraient certainement pas tombés amoureux !
Sa seule source de chaleur était Cong Cong.
Dans le canal de la fête :
ClairDeLuneAvantDeSeCoucher : Tata, tu veux que je te remontre ?
BattreLePatronPourBienDormir : Cong Cong, attends que ma tante ait fini de manger Tang Yuan avant de me remonter.
ClairDeLuneAvantDeSeCoucher: Oh, d'accord. Tante, qui est "SaFemmeEstMorteAChaqueFois" ?
BattreLePatronPourBienDormir : Ton oncle Feng......
ClairDeLuneAvantDeSeCoucher : Ohhh…Mais je ne crois pas que l'on ait appelé l'oncle Feng ainsi hier.
BattreLePatronPourBienDormir : Il change juste de nom parce qu'il peut le faire gratuitement !
C'était trop facile pour le PDG Feng de prendre le téléphone et d'appeler le directeur général de Feng Teng Technology pour changer son nom…C'était pourquoi tous les employés de l'entreprise savaient que la femme du PDG Feng était une experte en mensonges.
Chaque fois que Shan Shan allait lui rendre visite, elle avait l'impression que tout le monde la regardait comme si elle était un cadavre…
Alors qu'elle se plaignait dans son esprit, elle vit ClairDeLuneAvantDeSeCoucher sortir une puissante compétence. Shan Shan le félicita immédiatement.
BattreLePatronPourBienDormir : Cong Cong, tu es de plus en plus génial ! Tu es même capable de jouer si bien tout en discutant avec ta tante.
ClairDeLuneAvantDeSeCoucher : Tante, j'ai fabriqué un petit jouet qui me permet de me battre et de discuter en même temps, et aussi de nourrir mon petit frère !
SourireNaiHe :......
RoseauWeiWei : ...............
BattreLePatronPourBienDormir : (⊙o⊙) Serait-ce le fameux plugin ?
ClairDeLuneAvantDeSeCoucher : Il ne peut pas être branché. Oncle Hao m'a appris comment faire O(∩_∩)O
LeXingXingÊtreChoisi : …Je suis définitivement innocent. Il suffit de regarder ma paire d'yeux purs et innocents. @_@
ClairDeLuneAvantDeSeCoucher : Erreur de frappe. Je voulais dire grand maître
CueillirL'Étoile (KO) : Mm, c'est moi qui lui ai appris.
ClairDeLuneAvantDeSeCoucher a été retiré de la partie par SourireNaiHe.
[Monde][ClairDeLuneAvantDeSeCoucher] : (⊙o⊙)
[Monde][ClairDeLuneAvantDeSeCoucher] : J'ai été mis à la porte par Papa…
[Monde][SoufflerFleursPluieFleurs] : Papa ?
[Monde][Annie] : Oh mon Dieu, les paires père-fils sont-elles devenues populaires dans les jeux en ligne ? Petit garçon, quel âge as-tu ?
ClairDeLuneAvantDeSeCoucher ne dit plus rien sur le canal Monde après cela.
Shan Shan posa la question sur le canal, inquiète.
BattreLePatronPourBienDormir : Où est Cong Cong ?
SourireNaiHe : Il est allé donner le biberon à son petit frère.
BattreLePatronPourBienDormir : ......
RoseauWeiWei : ^_^
Dix minutes plus tard, ClairDeLuneAvantDeSeCoucher était invité par son père à revenir sur le canal. À sa grande surprise, son papa, sa maman, son oncle et sa tante avaient déjà terminé la quête à la vitesse de l'éclair.
ClairDeLuneAvantDeSeCoucher : Pourquoi, à chaque fois que papa et maman jouent avec moi dans le salon, nous terminons les quêtes très rapidement, mais quand papa et maman jouent dans le bureau avec la porte fermée, nous finissons parfois par être tous morts ?
SaFemmeEstMorteAChaqueFois : >Tousse<
CueillirL'Étoile : ......
LeXingXingÊtreChoisi : orz
BattreLePatronPourBienDormir : (⊙o⊙)
BattreLePatronPourBienDormir : Cong Cong, c'est fini pour toi. Tu vas recevoir une fessée sur les fesses pour avoir découvert un si grand secret.
ClairDeLuneAvantDeSeCoucher : Quel secret ?
Quelques secondes plus tard.
SourireNaiHe : Tout le monde est prié de faire une pause. Je dois m'occuper d'une affaire familiale.
De l'autre côté, chez les Feng dans la ville S, Feng Teng décida d'éteindre l'ordinateur.
— Allons nous coucher tôt.
Shan Shan, assise sur le lit, leva les yeux.
— Tu ne veux plus jouer ? C'est une occasion rare de jouer puisque les bébés sont si gentils aujourd'hui.
— Ils ne reviendront probablement pas, dit Feng Teng d'une voix grave en se caressant le menton. Des violences domestiques sont probablement en train de se produire chez le PDG Xiao en ce moment même, conclut-il joyeusement. | | Messages : 181
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| Nirlaw Jeu 25 Juil 2024 - 14:28 Shan Side Story 5 Cong Cong avait été banni d'Internet.
Shan Shan se sentait plutôt seule de ne pas pouvoir voir le caractère mignon de Cong Cong - maintenant il n'y avait plus personne pour la tirer du sol chaque fois qu'elle mourait ; Wei Wei était une combattante, donc elle n'avait pas la capacité de tirer quelqu'un vers le haut ; Xiao Nai ne voulait pas s'embêter à faire revivre un membre de l'équipe à la tête de cochon ; et quant à Feng Teng......Oh, il était du genre à sourire après qu'elle soit morte, et pendant qu'il y était, il ajouterait aussi :
— Tu es encore morte ? Pourquoi ne vas-tu pas réchauffer le lit pour nous ?
C'était ce genre de personne sans vergogne…
Quoi qu'il en soit ! Sans Cong Cong, à quoi bon jouer à ce jeu ?
Même si elle ne pouvait pas le voir en ligne, elle pouvait toujours le voir en personne ! Shan Shan envoya donc une invitation enthousiaste à Cong Cong et à sa famille.
L'entreprise de Xiao Nai était en train de développer un nouveau projet de collaboration avec Feng Teng Technology et les patrons des deux parties voulaient également se rendre visite. Xiao Nai accepta donc l'invitation et emmena sa femme et ses enfants à City S.
Shan Shan se prépara avec enthousiasme à accueillir Wei Wei et sa famille.
Tout d'abord, que devaient-ils manger ?
— Du sichuanais, décida Feng Teng sans lever la tête, assis sur le canapé et lisant un magazine financier.
Shan Shan arrêta de tourner en rond dans la pièce.
— Ils aiment manger épicé ?
— Hum, lui assura Feng Teng. D'après ce que j'ai compris de mon partenaire collaborateur, le PDG Xiao aime particulièrement l'épicé.
— Oh oh oh, c'est génial ! Choisissons la cuisine du Sichuan pour les trois premiers jours, avec un supplément d'épices ! approuva Shan Shan avec audace.
Ensuite, il s'agissait d'organiser les choses à faire.
— Je m'occupe de ça, dit Feng Teng en plissant les yeux et planifiant secrètement les sports pour lesquels il est doué : natation, tennis, billard…
Même s'il ne pouvait pas le vaincre dans les jeux en ligne, perdrait-il quand même dans la vie réelle ?
Le PDG Feng ricana et commença à aiguiser son couteau.
Enfin, et c'était le plus important, Shan Shan regarda avec inquiétude les deux bébés qui rampèrent près des jambes de Feng Teng. Elle prit l'un d'entre eux dans ses bras.
— Que doit porter notre Cong Xing pour rencontrer Cong Cong ?
La famille Feng avait des jumeaux garçon-fille, et leurs noms étaient Feng Cong Lue et Feng Cong Xing. Ils n'en étaient encore qu'au stade de la marche à quatre pattes.
Shan Shan n'avait pas encore renoncé à Cong Cong. Leur premier rendez-vous à arrangé…oh, elle voulait dire, première rencontre, c'était trop important, d'accord ? Même si sa fille n'avait pas encore appris à marcher......ce n'était pas grave.....
Même si elle rampait encore, elle devait laisser une impression profonde pour que Cong Cong se souvienne d'elle pendant au moins dix ans !
C'était pourquoi, le jour de l'arrivée, Shan Shan se leva tôt pour habiller sa fille.
Un costume de lapin ? Serait-ce trop évident d'essayer d'être mignon ?
Un costume de tigre ? Non. Cela donnerait l'impression qu'elle deviendrait une tigresse en grandissant.
Pourquoi pas un costume de tortue ?
C'était un peu hors du commun......
Feng Teng n'en pouvait plus de regarder, il prit sa fille pitoyable et précieuse, lui mit une petite robe et l'emmena à la porte.
Afin d'exprimer l'importance de leur partenariat, Feng Teng conduisit personnellement sa voiture jusqu'à l'aéroport pour venir les chercher. Mais l'avion ne le respecta pas et fut retardé. Feng Teng n'avait d'autre choix que d'emmener sa femme et ses enfants dans un café et d'attendre.
Shan Shan regarda autour d'elle, une tasse de thé au lait à la main.
— Je me souviens d'une fois où je t'attendais ici et j'ai fini par m'endormir. Quand je me suis réveillée, tu buvais un café en face de moi.
Feng Teng était en train de boire un café en face d'elle, toujours aussi beau et élégant. Comparé à il y a quelques années, il avait l'air encore plus imposant qu'avant lorsqu'il ne parlait pas… c'est-à-dire s'il n'avait pas un bébé joufflu suçant son doigt assis sur ses genoux en ce moment…
—Hum, dit Feng Teng qui posa sa tasse de café et leva un peu le bras, révélant le bouton de manchette en onyx noir. Ce sont vos boutons de manchette. Il se trouve que je les ai utilisés aujourd'hui.
Shan Shan tira la langue pour lui faire une grimace.
Feng Teng jeta un coup d'œil à sa montre. Au moment où il s'apprêtait à dire quelque chose, son expression changea soudain, il fixa son précieux fils qui le regardait innocemment en se mordant le doigt.
Xiao Nai et sa famille arrivèrent enfin deux heures plus tard.
— PDG Feng, salua Xiao Nai avec son habituel raffinement, en tendant une main et en portant un bébé de l'autre.
— PDG Xiao, dit Feng Teng en lui serrant la main avec un visage rigide et en tenant un bébé avec un bras.
De l'autre côté, Shan Shan s'était déjà précipitée vers Cong Cong.
— Cong Cong.
— Tante Shan Shan, l'appela poliment Cong.
— Cong Cong tu te souviens encore de Tata ?
Bien qu'ils jouaient toujours ensemble en ligne, cela faisait longtemps qu'ils ne s'étaient pas vus en personne.
— Oui, je m'en souviens, dit-il en hochant fermement la tête.
Le cœur de Shan Shan fondit devant sa mignonnerie.
— Viens, viens, viens. Viens à la maison avec ta tante.
Shan Shan pousse sa fille vers Wei Wei sans hésiter et tint la main de Cong Cong.
C'est le PDG Feng qui conduisit, Xiao Nai était assis sur le siège passager, Wei Wei et Shan Shan étaient assises sur le siège arrière.
— Qu'est-ce qui ne va pas avec votre patron ? Il n'a pas l'air très heureux, demanda tranquillement Wei Wei à Shan Shan.
— Les couches de Lue Lue n'ont pas été mises correctement, alors il est allé aux toilettes pour les changer, mais Lue Lue a fait pipi sur lui, gloussa Shan Shan.
— Pfff.
Wei Wei laissa échapper un rire.
Le chauffeur Feng, à l'avant, toussa immédiatement.
Shan Shan cacha rapidement son sourire et aida son mari à retrouver sa dignité. Elle fit semblant de mépriser Wei Wei.
— Qu'y a-t-il de drôle ? Votre Grand Maître ne s'est-il jamais fait pisser dessus par un bébé ?
— Non, répondit Wei Wei à regret.
— Ah ! Comment a-t-il pu éviter cela ? dit Shan Shan choquée.
Qu'est-ce que c'était que ce ton vénéré ? Si ce n'était pas lui qui conduisait, Feng Teng aurait attrapé sa femme et lui aurait donné une bonne leçon. Xiao Nai, qui était assis à côté de lui, lui jeta un coup d'œil.
— Wei Wei, sache quand c'est assez, dit Xiao Nai en souriant à la banquette arrière.
— D'accord ! répond Wei Wei docilement.
— PDG Xiao, vous êtes vraiment dans le domaine de la technologie. Vous êtes même doué pour changer les couches, dit nonchalamment Feng Teng, après un moment de silence
— Vous êtes trop gentil, dit Xiao Nai avec dédain. Bien que je sois plus jeune que vous, PDG Feng, je suis déjà père depuis quelques années, alors bien sûr, j'ai un peu plus d'expérience.
— …
Wei Wei pensa dans sa tête : n'avez-vous pas dit qu'il fallait savoir quand c'était assez…
Pourquoi le Grand Maître de Wei Wei rendait-il toujours les autres muets ?
Shan Shan compatit et changea de sujet.
— Feng Teng a dit que vous aimiez les plats épicés, alors j'ai invité un chef spécialisé dans la cuisine sichuanaise. Nous pourrons manger des plats de Sichuan les premiers jours. Je vous garantis que ce sera super épicé !
— …Ah ? dit Wei Wei.
Mais le Grand Maître ne pouvait pas manger épicé.
— PDG Feng ? toussa Xiao Nai.
— PDG Xiao, vous n'avez pas besoin d'être aussi poli. Nous devons jouer notre rôle d'hôte. Vous pouvez vous reposer après le repas, puis nous pourrons peut-être faire une partie d'échecs. Si nous avons le temps, nous pouvons aussi aller jouer au tennis, ou la piscine chez moi n'est pas mal non plus, répondit calmement le PDG Feng Teng.
— Si le PDG Feng est d'humeur à en faire, je viendrai certainement avec lui, sourit Xiao Nai en comprenant immédiatement.
Comprenant le sens de leur éloquent discours, Wei Wei ne savait pas quoi dire. D'un autre côté, Shan Shan se sentait un peu vexée de ne pas avoir compris.
— Si vous allez jouer au tennis l'après-midi, nous devrons aller sur les courts. Et les enfants ? Nous devrons demander à quelqu'un de nous aider à nous occuper d'eux.
— C'est vrai, ajouta Wei Wei. Nos garçons peuvent déjà s'occuper d'eux-mêmes maintenant, mais ces deux-là.
— Ce n'est pas la peine de se donner tant de mal, déclara Xiao Nai. Cong Cong.
Cong Cong, qui tenait le biberon de son petit frère et qui était assis au milieu entre maman et tante Shan Shan, leva les yeux vers son papa.
— Prends soin du petit frère et de la petite sœur de la famille de ton oncle, dit lui dit ce dernier nonchalamment.
Xue Shan Shan avait l'impression que les principes de sa vie venaient de voler en éclats.
— Est-ce que c'est vraiment bien ?
Sur le court, Shan Shan tenait sa raquette de tennis tout en regardant la belle couverture de pique-nique étendue sur l'herbe, ses deux bébés avaient été correctement placés dessus, et un tas de produits pour bébés étaient sur le côté : leurs biberons, du lait en poudre, des couches, etc…
— Est-ce qu'on va vraiment jouer tout seul et laisser tout ça à Cong Cong ?
— Il a déjà six ans, dit le Grand Maître en guise de réponse. Il partit ensuite avec sa raquette.
Wei Wei caressa la tête de Cong Cong.
— Maman reviendra dans un instant.
Cong Cong hocha la tête.
Feng Teng jeta un coup d'œil à Cong Cong. Il se sentait soudain rassuré et se dirigea vers le terrain.
— Shan Shan, allons-y.
Quoi ? Ils faisaient vraiment ça ?
Shan Shan les regarda tous les trois s'éloigner sans tourner la tête. Wei Wei, est-ce que c'est vraiment bien pour toi de suivre ton Grand Maître et de partir comme ça ?
— Cong Cong, est-ce que tu vas vraiment être bien ici ?
Cong Cong regarda les trois bébés sur la couverture de pique-nique, les jumeaux identiques et potelés le fixaient également de leurs yeux ronds et pétillants, son petit frère semblait mécontent de tenir son propre biberon. Cong Cong était soudain troublé : il devait s'occuper de trois d'entre eux…
Il agita misérablement sa petite main vers Shan Shan.
— Au revoir, tante.
— Au revoir.
Shan Shan s'en alla en traînant difficilement sa raquette.
Cinq jours plus tard et après de nombreux rounds de PK, les résultats des combats de Feng Teng et Xiao Nai étaient les suivants.
Match de tennis en simple : Le patron gagne ; match en double avec leurs femmes : Patron vaincu.
Pour la natation…leurs derniers mots avant la course étaient :
— PDG Feng, si je gagne cette épreuve, peut-être pourrons-nous changer de type de nourriture ? dit Xiao Nai.
— Malheureusement, il est peu probable que le PDG Xiao puisse le faire, dit Feng Teng.
Quelques minutes plus tard, Xiao Nai sortit de la piscine et s'essuya le corps avec une serviette.
— Cuisine cantonaise, dit-il impassiblement.
Basket-ball : le grand maître gagne.
Golf : le patron gagne.
Go : égalité.
Sans tenir compte de sa défaite au tennis en double avec sa femme, Feng Teng estima que sa performance globale avait été plutôt bonne et qu'il avait gagné plus de fois. Par conséquent, le sixième jour, bien qu'ils n'aient pas eu l'occasion de parler du travail, le PDG Feng envoya Xiao Nai et sa famille à l'aéroport, un peu à contrecœur, mais à moitié satisfait en même temps.
En regardant le dos de la famille de quatre personnes entrer dans le poste de contrôle.
— Ton idée n'est pas mauvaise, commenta soudainement Feng Teng.
— Quelle idée ? dit Shan Shan le regard perplexe.
— Les laisser se marier avec la famille. Je pense que Xiao Ming Cong serait le bon, décida Feng Teng en toute satisfaction. Notes de l'auteur :Bien que le patron souhaite que le Cong Cong du Grand Maître devienne son gendre, l'auteur a déjà pris sa décision. Si elle doit écrire une histoire sur la nouvelle génération 20 ans plus tard, elle s'appellera probablement "Ming Yue Cong Xing" →_→ (en gros, "la lune et l'étoile"). Laisser Un Commentaire »»————- ★ ————-«« | | | |
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